Communauté d’agglomération Coulommiers Pays de Brie' communauté d’agglomération de Seine-et-Marne, associant 54 communes et 92 700 hab. sur 58 270 ha. Coulommiers (siège), Beautheil-Saints, Boissy-le-Châtel, Chailly-en-Brie, Couilly-Pont-aux-Dames, Crécy-la-Chapelle, Faremoutiers, La Ferté-sous-Jouarre, Guérard, Jouarre, Mouroux, Pommeuse, Villiers-sur-Morin dépassent 2 000 hab. Chauffry (1 030 Cauffériens, 516 ha) est dans la vallée du Grand Morin 10 km à l’est de Coulommiers, au confluent du Raboireau. La commune monte au nord sur le plateau, où sont les hameaux de Monthomé et des Limons. Elle avait 410 hab. en 1962, 860 en 1999 et poursuit sa croissance. Marolles-en-Brie (420 Marollais, 905 ha) est à 8 km ESE de Coulommiers; elle a un château du 19e s. avec parc; au sud se maintient une extraction de pétrole au gisement de la Malnoue (groupe Vermilion). La population communale était descendue à 210 hab. en 1975 et augmente depuis. Chevru (1 060 Chevrotins, 1 394 ha) est à 14 km SE de Coulommiers dans un vallon affluent de droite de l’Aubetin; le hameau de la Commanderie est plus en aval à l’ouest dans le même vallon, le petit bois de Chevru au nord-ouest. La commune, stagnant à 300 hab. entre 1962 et 1980, a connu depuis une forte augmentation de sa population, dont 200 personnes après 1999 (+23%). Dagny (290 Dagnyssiens, 789 ha), 15 km SSE de Coulommiers, est sur un promontoire de méandre dominant la vallée de l’Aubetin; les hameaux de la Malgagne et du Bois Éluis sont au sud sur le plateau. Dagny avait 200 hab. de 1936 à 1975 et a gagné des habitants ensuite. Amillis (820 Amilissiens, 2 006 ha dont 700 de bois) est sur l’Aubetin, à 11 km SSE de Coulommiers; elle se signale par son église inscrite, un jardin des dominicaines (17e s.), une maison de retraite dans l’ancien château de 1806. Son finage comprend plusieurs bois, dont celui des Trois Maisons au sud, et de nombreux hameaux, comme Fontenelle au nord, les Bordes et les Marnières au sud. La population, de 970 hab. en 1861, est descendue à 550 en 1975 et augmente depuis. Saint-Augustin (1 850 Saint-Augustiniens, 1 037 ha dont 200 de bois) est à 6 km OSO de Coulommiers, dessinant avec ses ailes du Ménil au sud et de Barny au nord un village-rue sur le rebord du plateau qui domine le versant droit de l’Aubetin. Vers le nord, le finage atteint la voie ferrée dans la vallée du Grand Morin, aux abords de la gare de Mouroux. Au sud, la pointe de la commune englobe le hameau du Saussoy au ras de la forêt de Malvoisine, où est la chapelle Sainte-Aubiège (ou Aubierge, 13e s.) et va jusqu’à l’obélisque classé du 18e siècle sur la route de Melun. La commune n’avait que 520 hab. en 1962 alors qu’elle dépassait 1 400 hab. au début du 19e s.; elle est passée à 1 000 hab. en 1982, 1 400 en 1999. Mauperthuis (490 Malperthusiens, 197 ha), 8 km au sud-ouest de Coulommiers sur la route de Melun, jouxte Beautheil-Saints et n’a qu’un très petit finage. Ce «village de charme» est sur le rebord du plateau juste au-dessus de la rive droite de l’Aubetin et la commune englobe au nord sur le plateau le hameau de l’Oursine; pyramide de Claude-Nicolas Ledoux, classée, et domaine de Montesquiou au Moulin de Mistou (18e s.), avec parc. La commune n’avait que 220 hab. autour de 1970. Touquin (1 230 Touquinois, 1 134 ha) est à 13 km au SO de Coulommiers, son village à l’angle sud-ouest d’un finage qui comprend plusieurs hameaux d’habitat lâche comme le Tau et Villarceaux. Le ru des Tournelles venant du nord-ouest et le ru de l’Étang de Beuvron venu de l’est y confluent en formant l’Yerres; mais le ru des Tournelles est parfois considéré comme la partie supérieure de l’Yerres elle-même. Touquin n’avait plus que 500 hab. dans les années 1960, contre près de 900 vers 1850, mais sa population augmente depuis. Pézarches (400 Pézarchois, 894 ha dont 318 de bois) est à 14 km SO de Coulommiers, au bord du ru des Tournelles et au croisement de la D402 et de la D231; la forêt de Malvoisine déborde sur le nord du finage. Géopétrol extrait du pétrole dans le gisement de Pézarches au nord et dans celui de Vignottes au sud-est. La population communale s’est tenue vers 160 hab. de 1920 à 1975, puis a un peu augmenté. Hautefeuille (260 Hautefeuillois, 980 ha) est à 13 km OSO de Coulommiers au SO de Faremoutiers, au centre d’un territoire plutôt boisé. Le château des Tournelles (17e s.) est au bord du ru de même nom, au nord du finage. Le domaine Emmanuel soutient un centre d’aide par le travail. La commune n’avait que 85 hab. de 1836 à 1954, et croît lentement depuis. La Celle-sur-Morin (1 270 Cellois, 720 ha dont 204 de bois), 11 km à l’ouest de Coulommiers, est une commune au finage très étroit, perpendiculaire au cours du Grand Morin. L’habitat se divise en trois hameaux principaux: la Celle d’En-Bas dans la vallée, la Celle d’En-Haut juste au sud sur le rebord du plateau de rive gauche, la Villeneuve sur une échine du plateau de rive droite, promontoire d’un étroit méandre du Grand Morin. La commune touche au sud à la forêt de Malvoisine. De 1 100 hab. autour de 1840, la population était descendue à 510 hab. en 1968; elle augmente depuis. Dammartin-sur-Tigeaux (1 270 Dammartinois, 904 ha dont 380 de bois) est à 16 km à l’ouest de Coulommiers, sur le plateau dominant le Grand Morin, sur lequel est le moulin du Pont de Coude et qui limite au nord le finage. Au sud-ouest, château ruiné de Sainte-Avoye (17e-18e s., avec parc). À l’ouest, la commune contient une partie de la forêt de Crécy, jusqu’à la N36, et participe ainsi à l’Obélisque partagé avec Mortcerf et Villeneuve-le-Comte. La commune, qui a vu croître les lotissements de pavillons après 1990, abrite un institut pour enfants handicapés. Elle avait 360 hab. à son minimum de 1936 (550 en 1841), 780 en 1999 (+63% depuis). Tigeaux (380 Tigéens, 612 ha dont 276 de bois), 5 km au sud de Crécy-la-Chapelle, est sur la rive gauche du Grand Morin. Son finage monte un peu sur le versant droit du Morin. Le château de Bellevue (19e s.) est à l’orée de la forêt de Crécy, au sud-ouest; le château de Bessy (18e et 20e s.) est au nord. Tigeaux n’avait plus que 110 hab. en 1962 (290 en 1856). Voulangis (1 530 Voulangeois, 958 ha) est sur le relief face à Crécy. Le village est sur le plateau de rive gauche du Morin; son finage s’enfonce au sud dans la forêt domaniale de Crécy, le long de la N36 qui va de Meaux à Melun. La commune s’est nommée Saint-Martin-lès-Voulangis jusqu’en 1887; de 780 hab. en 1836, sa population était lentement descendue à moins de 500 autour de 1960, puis a augmenté régulièrement. Le bourg organise un festival musical annuel Voulstock. Coutevroult (1 200 Coutevroultois, 779 ha) est 5 km à l’ouest de Crécy, sur le plateau qui domine la rive gauche du Grand Morin; château du Vivier (18e s.) avec parc. L’A4 traverse la commune du SO au NE et y a un échangeur (n°15) à péage; le bois des Écoliers apparaît à la pointe méridionale. La commune n’avait plus que 240 hab. en 1962 (490 en 1836) et croît depuis. Elle a plus que doublé sa population depuis les 540 hab. de 1999. Condé-Sainte-Libiaire (1 450 Condéens, 215 ha) est sur l’éperon de confluence du Grand Morin et de la Marne, 10 km au NO de Crécy-la-Chapelle juste à l’ouest de Quincy-Voisins. Le château de Condé, des 18e-19e s. avec parc, est près du confluent; une section du canal de Chalifert latéral à la Marne passe à côté et reçoit l’ex-canal latéral au Grand Morin; centre d’aide par le travail. La population communale était de 370 hab. en 1954 puis s’est nettement accrue, passant les 1 000 hab. en 1982. Elle n’a toutefois augmenté que de 90 hab. après 1999. Bouleurs (1 730 Bouleurois, 825 ha) est à 2 km au nord de Crécy-la-Chapelle. Son finage inclut les hameaux de Sarcy à l’est et du Montpichet à l’ouest. La commune avait dépassé 600 hab. au début du 19e s. mais n’en avait plus que 290 en 1954; elle a atteint les 1 000 hab. en 1990 et poursuit sa croissance, gagnant 480 hab. après 1999 (+38%). Coulommes (540 Coulommois, 368 ha) est à 4 km au NE de Crécy-la-Chapelle. au-delà de Bouleurs; son territoire est écorné par l’A4 au nord. Elle n’avait plus que 190 hab. en 1962, contre 450 en 1856, mais sa population croît lentement. Des restes de voie romaine de Lyon à Boulogne-sur-Mer par Auxerre et Meaux ont été trouvés à Coulommes sur le Chemin Paré, le lieu ayant pu être le Castrum Colombarum de César. Pétrorep exploite encore un peu de pétrole à Coulommes, qui fut en 1958 le premier site pétrolifère exploité dans le Bassin Parisien. Vaucourtois (290 Vaucourtoisiens, 488 ha) est à 6 km NE de Crécy-la-Chapelle. Une aire de repos de l’A4 porte son nom mais est hors de son finage au nord. Vaucourtois est à la source du Mesnil qui coule vers l’ouest et atteint le Morin à Couilly-Pont-aux-Dames; elle avait 100 hab. en 1975. Sancy (400 Sancéens, 548 ha) est à 9 km ENE de Crécy sur la D228, à la source du ru de Vaudessart, affluent du Morin; château du 19e s. La commune est parfois nommée Sancy-lès-Meaux, mais son nom officiel est simplement Sancy. Elle n’avait que 120 hab. dans les années 1930 et sa population augmente lentement. Maisoncelles-en-Brie (970 Maisoncellois, 1 357 ha) est 7 km à l’est de Crécy-la-Chapelle; elle n’avait plus que 270 hab. de 1945 à 1967, et le nombre de ses habitants a sensiblement augmenté depuis: 520 en 1982, 680 en 1999. L’habitat est formé de plusieurs hameaux de structure lâche mais jointifs; château de Roise à l’ouest, maison de retraite (40 sal.). Au sud, le finage contient une fraction de l’aérodrome de Coulommiers-Voisins. La Haute-Maison (340 Altimonticiens, 1 296 ha), est 9 km ENE de Crécy-la-Chapelle sur le plateau de Brie, où se dispersent quelques grosses fermes, dont une du 17e s.; le minimum de population a été de 150 hab. en 1975. Giremoutiers (190 Giremontois, 607 ha) est à 13 km ESE de Crécy-la-Chapelle, 7 km ONO de Coulommiers au nord de Mouroux et contient au sud-ouest une partie du terrain d’aviation. de Coulommiers-Voisins. Aulnoy (370 Alnésiens, 1 425 ha) est une commune de plateau juste au nord de Coulommiers, traversée par le Rognon et par la route de Jouarre (D402); château au village, château du Rû juste au sud, hameau de Villers au nord-ouest. La population progresse un peu depuis le minimum de 1975 (240 hab.) et a dépassé ses maxima du 19e s. Pierre-Levée (480 Pierrelevéens, 1 293 ha dont 300 de bois) est à 13 km au NNO de Coulommiers; la commune comporte plusieurs petits hameaux, dont Courte Soupe et les Houis, et de grosses fermes; château de Montebise (18e et 20e s.) avec parc; forêt domaniale du Mans (297 ha) à l’ouest. La population n’était plus que de 210 hab. en 1975, contre 450 au milieu du 19e s., mais elle augmente depuis. Signy-Signets (610 Signaciens, 1 344 ha) est à 17 km au nord de Coulommiers, 6 km à l’ouest de Jouarre, à la tête du vallon des Signets, qui descend vers la Marne; le hameau de Signy se situe à l’est du village principal, celui de l’Orme Mort à l’ouest. La commune n’avait que 230 hab. en 1962, contre 710 en 1846, a crû ensuite mais a très peu gagné après 1999. Saint-Jean-les-Deux-Jumeaux (1 300 Saint-Jeannais, 1 326 ha dont 340 de bois) est à 19 km NNO de Coulommiers, 9 km à l’ouest de La Ferté-sous-Jouarre, sur la rive sud de la Marne au bord d’un grand méandre face à Changis-sur-Marne. Elle associe un village de rivière, Saint-Jean, sur la N3, et un de plateau juste au sud, les Deux-Jumeaux. La partie méridionale de la commune, sur le plateau, est traversée par l’A4; celle-ci est accessible au pied du coteau par le gros échangeur à péage n°18 avec la N3. La commune comprend le château de la Noue et le bois de Saint-Faron au sud, les hameaux d’Arpentigny et de Montretout sur le coteau de Marne (la Côte); elle a une maison de retraite. La population était de 640 hab. au minimum de 1962, contre 850 dans les années 1930; elle augmente depuis, mais seulement de 60 hab. après 1999 +46%). Changis-sur-Marne (1 400 Changissiens, 698 ha dont 186 de bois) est 10 km à l’ouest de La Ferté-sous-Jouarre face à Saint-Jean-les-Deux-Jumeaux sur la rive droite de la Marne; elle y occupe un méandre de la Marne, fermé à l’est par le bois d’Ussy et qui abonde en étangs de gravières côté nord; gare du Transilien sur la voie Paris-Strasbourg, pont sur la Marne. La commune a complété son nom en 1915; elle avait 300 hab. en 1936 et croît depuis. Elle a augmenté de 440 hab. après 1999 (46%). Ussy-sur-Marne (1 080 Ussois, 1 393 ha) est 4 km à l’ouest de La Ferté-sous-Jouarre sur la rive droite de la Marne face à Sammeron et lui est reliée par un pont sur la Marne; gare du Transilien. L’A4 y a deux aires de service (Autogrill, 55 sal.). Ussy fut la commune d’élection de Samuel Beckett, qui y passa ses 36 dernières années. Sammeron (1 160 Sameronnais, 606 ha) est à 4 km à l’ouest de La Ferté-sous-Jouarre sur la N3 dans la plaine de la Marne, rive sud, où débouche le vallon de la Bécotte. Elle n’avait que 350 hab. en 1975 et sa population a triplé depuis. La commune n’a qu’une petite fraction de plateau; elle partage avec Sept-Sorts le hameau de rive de Fay-le-Bac; plâtrerie Jobin (90 sal.). Sept-Sorts (580 Septsortais, 322 ha) est 3 km au SO de La Ferté-sous-Jouarre. Le village est dans un vallon à l’écart de la route, tandis que la rive de la Marne est occupée par une zone d’activités et des silos, un petit port de péniches; travaux publics Wiame (240 sal.), gardiennage PILE (55 sal.). Le nom évoque sept sources. Elle n’avait que 170 hab. en 1975 et croît depuis (+180 hab. après 1999). Reuil-en-Brie (820 Reuillois, 592 ha dont 395 de bois) est juste au NE de La Ferté-sous-Jouarre sur la rive gauche de la Marne et la D402; «en Brie» date de 1912. Son finage occupe le plateau à l’est, en partie boisé, où sont les deux châteaux de Tarterel et Bréau, et le hameau du Tillet; maison de retraite, musée de l’industrie meulière. La commune n’avait que 250 hab. en 1954 mais reste au niveau de peuplement de 1999. Chamigny (1 430 Chamignots, 1 422 ha dont 427 de bois) est à 4 km NNE de La Ferté-sous-Jouarre sur la rive droite de la Marne, au pied du coteau de Marne. La commune n’avait que 440 hab. en 1962 (900 au début du 19e s.) et a crû assez vigoureusement ensuite. Elle a une église des 12e-13e s., un établissement régional d’éducation adaptée (erea) avec internat de 80 places (garçons) et des jardins protégés du 19e s., une clinique (55 sal.). Dans la plaine sont le hameau et le château de Tanqueux (19e s. avec parc) au sud et le hameau de Vaux au nord, près du château du Saussoy; musée paysan à la ferme de Godefroi. La N3 court sur le plateau, au nord duquel le finage englobe le hameau de Rouget. Sainte-Aulde (690 Saintaldais, 863 ha dont 200 de bois) est à la limite de l’Aisne. Le village est sur la rive droite de la Marne, 7 km au NNE de La Ferté-sous-Jouarre; les hameaux de Moitiébard et de Caumont le prolongent vers l’amont. Vers le nord-est, le plateau, où est le hameau de Chamoust, est parcouru par la N3 et l’A4, qui y a une gare de péage avec échangeur n°19, dit de Montreuil-aux-Lions. La population était de 230 hab. en 1954 (560 un siècle auparavant) et croît depuis. Luzancy (1 120 Luzancéens, 658 ha), 6 km au nord-est de La Ferté-sous-Jouarre, est sur la rive gauche de la Marne; son finage occupe tout un méandre au nord et à l’ouest du village, traversé par la voie ferrée Paris-Strasbourg; château avec parc (18e-19e s.), hameaux de Courtaron à l’ouest, de Messy au nord; étangs de gravières au NE (15 ha). La commune avait 550 hab. au cours des années 1960 et 1970 et a crû ensuite (+250 hab. après 1999). Méry-sur-Marne (750 Mérycards, 577 ha dont 200 de bois), limitrophe de l’Aisne, est à 8 km ENE de La Ferté-sous-Jouarre sur la rive droite de la Marne, au sein d’un méandre jumeau inversé de celui de Luzancy mais plus étroit et plus accidenté. Elle a un établissement d’enseignement privé (école apostolique). Sa population a été de 240 hab. en 1936 (520 en 1846) et augmente lentement. Vers le nord, le pédoncule de méandre est escarpé et franchi par la voie ferrée en tunnel sur 940 m. Le hameau de Courcelles-sous-Méry s’étire le long de la rive droite. Nanteuil-sur-Marne (430 Nanteuillais, 125 ha), village de rive droite de la Marne au pied du coteau escarpé de rive concave du méandre de Saâcy, n’a qu’un très petit finage de versant, limitrophe de l’Aisne, portant quelques vignes; maison de retraite. Nanteuil avait 250 hab. entre 1954 et 1970. La commune est dans l’aire de l’aoc champagne. Citry (950 Citryats, 504 ha), 10 km ENE de La Ferté-sous-Jouarre et limitrophe de l’Aisne, occupe la partie orientale du grand méandre de Saâcy. Le village est au pied du coteau. Il a une église inscrite, un château des 16e-17e s. avec parc, le hameau de Villaré sur le rebord du plateau. La plaine alluviale reste vide au-delà de la voie ferrée. Citry n’avait plus que 420 hab. en 1975, contre 800 vers 1850, mais croît depuis. Saâcy et Citry sont également dans l’aire d’aoc champagne; avec Nanteuil, les parcelles de vignes exploitées ne dépassent guère toutefois 20 ha. Saâcy-sur-Marne (1 880 Saâcéens, 1 380 ha dont 305 de bois) est face à Méry sur la rive gauche de la Marne, à 8 km ENE de La Ferté; elle avait 1 100 hab. en 1960 (1 450 en 1911) et croît surtout depuis 1982; son nom viendrait d’un patronyme latin Saccius. La commune est dans l’aoc champagne; elle a une gare au nord, et son finage s’étend assez largement sur le plateau de Brie au sud, où le relief monte à 208 m; il contient les hameaux de Montménard, Chantemanche et Rougeville. Bussières (560 Bussiérois, 881 ha) est à 8 km à l’est La Ferté-sous-Jouarre sur la route de Montmirail (D407); maison de cure de Séricourt avec parc, sur un domaine qui fut un temps la propriété d’Eugène Scribe (1791-1861). Son finage atteint au nord-est le sommet du coteau de rive gauche de la Marne, mais non la rivière, tout en étant limitrophe du département de l’Aisne. La population n’était que de 260 hab. dans les années 1960. Bassevelle (400 Bassevellois, 1 746 ha) est à 12 km ESE La Ferté-sous-Jouarre et la plus orientale de l’intercommunalité, également limitrophe du département de l’Aisne. Son finage, de forme ramassée et traversé par la D407, se limite au plateau, où il comporte de nombreux petits écarts; il contient le centre de sports aériens La Belle Idée (ferme de la Croiselotte), avec école professionnelle et club de parapente des Canards Sauvages. (2 060 hab., 3 841 ha) est une commune nouvelle de 2019 en Seine-et-Marne, dans la CA de Coulommiers Pays de Brie. Beautheil (690 hab., 1 837 ha) est à 6 km au sud de Coulommiers, sur le plateau. Son territoire est traversé au sud par l’Aubetin, affluent de gauche du Grand Morin, et englobe plus au sud une partie du bois et l’étang de Grangemenant. Plusieurs habitats sont dans la vallée, dont le château d’Autheil; menhir classé de la Pierre Fitte. La commune n’avait que 300 hab. en 1968 (680 en 1861). Le village de Saints (1 300 Saintois, 2 004 ha dont 278 de bois) est à l’ouest de Beautheil, avec la mairie, mais dans la vallée de l’Aubetin. Son finage est étendu vers le nord, où il atteint celui de Coulommiers, est traversé par la D402. Il englobe, 4 km au nord du village, le hameau d’Épieds, et au nord-est ceux de Limosin et des Bordes, à la limite de Chailly. Les hameaux de Mémillon et du Paradis sont dans la vallée de l’Aubetin vers l’aval, ainsi que le château et le beau parc du domaine des Coteaux, aménagés par le duc de Montesquiou au 18e s. et comportant une école privée dite du Paraclet. Au sud, le finage s’élève à 143 m sur le plateau au signal de Glatigny; hameaux de Maison-Meunier, la Boissière et la Boisserotte; la Boissière est une ancienne commune, intégrée en 1841 avec moins de 70 hab. La population est en nette croissance depuis les 530 hab. du minimum de 1958. La commune nouvelle a 310 hab. de plus que ses composantes en 1999 (+18%). (3 240 Buccéens, 995 ha) est une commune de Seine-et-Marne dans la CA de Coulommiers Pays de Brie, 4 km à l’est du chef-lieu. Son territoire est limité au sud par le Grand Morin, et englobe au nord le bois Louis sur le versant septentrional du ru des Avenelles (ou d’Orgeval). Il contient les hameaux de Speuse au nord du village, de la Fontenelle et des Brosses à l’est, et s’orne d’un château et parc du 18e s. Jadis, Boissy s’illustra dans la papeterie avec l’usine de Sainte-Marie, sur le Grand Morin, apparue au 17e siècle, convertie en 1950 à la production de cellulose de paille, puis de sapin, et passée successivement à Arjomari, puis au groupe canadien Cascades, qui l’a fermée en 2007. La commune est restée autour de 1 100 hab. de 1830 à 1940; elle avait 1 400 hab. en 1975 et poursuit sa croissance: 2 400 en 1990, 2 700 hab. en 1999. (2 150 Caïbottins,1 736 ha) est une commune de Seine-et-Marne dans la CA de Coulommiers-Pays de Brie; 5 km au sud-est de Coulommiers sur la D934 (ex-N34). L’église du village est inscrite; l’activité est marquée par la présence du lycée agricole public de la Bretonnière, avec un internat de 270 places et un centre de formation agricole et horticole d’apprentis. La commune atteint au nord le cours du Grand Morin face à Boissy et contient plusieurs petits écarts. Sa population est passée de 670 hab. en 1968 à 930 en 1990, 1 370 en 1999 et a gagné 72% depuis. (2 130 Colliaciens, 475 ha), est une commune de Seine-et-Marne dans la CA Coulommiers-Pays de Brie, 5 km au NO de Crécy-la-Chapelle, sur la D934 qui croise au sud l’A4 à son échangeur n°16. Elle associe depuis 1930 deux petites agglomérations qui s’étirent le long de la rive droite du Grand Morin; transports Marne & Morin (110 sal.), supermarché (85 sal.). L’église est classée, et la commune abrite deux maisons de retraite dont celle des artistes dramatiques, fondée en 1905 à l’emplacement d’une ancienne abbaye de femmes, avec un beau parc. La commune avait 720 hab. en 1931 comme en 1962, puis sa population a augmenté: 1 300 hab. en 1982, 1 900 en 1999. (15 460 Columériens, 1 093 ha) est un ancien chef-lieu de canton de Seine-et-Marne dans l’arrondissement de Meaux, 28 km au sud-est de Meaux, siège de la communauté d’agglomération Coulommiers-Pays de Brie. La vieille ville se tasse sur le versant droit du Grand Morin, en position de carrefour et de pont au cœur des plateaux de Brie. La N34 de Paris à Épernay et la D402 de Melun à La Ferté-sous-Jouarre s’y croisent. La ville est fleurie (trois fleurs) et s’orne d’une halle aux fromages, de maisons anciennes, d’un théâtre à l’italienne de 1905. Une ancienne prison a été réaménagée en bibliothèque. La ville a un tribunal d’instance, deux collèges et deux lycées publics, trois centres de formation en apprentissage, un institut médico-éducatif; plus une antenne STAPS (éducation physique et sportive) de l’université de Marne-la-Vallée et un Institut de formation d’infirmiers (IFSI). Un nouveau centre hospitalier de 490 lits, dont 290 médicaux, est dans la ville haute au nord-est; la ville a aussi une clinique (40 lits) et deux maisons de retraite. L’aérodrome de Coulommiers-Voisins est à Voisins. En contrebas, la plaine du Grand Morin, drainée aussi par la Fausse Rivière au pied du versant sud, a quelques restes (parc fleuri, chapelle, château du 17e s.) d’un ancien couvent de capucins, où a été aménagé le musée municipal. La plaine a aussi des terrains de sports et un centre nautique, plus le parc d’activités de la Prairie Saint-Pierre et la gare, actuel terminus d’une voie ferrée venant de Paris-Est et desservie par le Transilien. L’habitat s’est étendu vers le nord sur le plateau, plus que vers le sud-ouest dans le quartier de Vaux. La ferme de l’Hôpital, ancienne commanderie de templiers, abrite un musée du papier dans la grange dîmière, et a été dotée d’un jardin «médiéval» en 1993. Le quartier des Templiers, sur le plateau, a été l’un des pionniers du chauffage par géothermie en 1980, à partir d’une nappe à 2 300 m de profondeur. Coulommiers tire encore quelque célébrité de ses fromages, honorés d’une foire annuelle en mars. Le coulommiers est l’un des fromages de brie, à pâte molle et croûte fleurie, d’un diamètre inférieur aux autres brie (13 à 15 cm) mais plus épais (3 cm) et de 400 à 500 g. Les principaux établissements de Coulommiers sont ceux des emballages plastiques SPS Medical (130 sal.), des automatismes Tecma Pack (100 sal.); informatique SIP (85 sal.), autocars Darche (180 sal.), Havas Voyages (830 sal.); secrétariat Riester (65 sal.); hypermarché E. Leclerc (380 sal.), nettoyages ELP (100 sal.) et Execo (100 sal.). La ville a aussi un centre régional de tri de La Poste. De 3 500 hab. au début du 19e s., sa population est passée à 6 500 à la fin, et n’a pas cessé d’augmenter: 8 500 hab. en 1954, 11 500 en 1975, 13 100 en 1990. Le nouveau canton de Coulommiers a 50 communes, 65 100 hab. (4 850 Créçois, 1 578 ha dont 287 de bois) est un ancien chef-lieu de canton de Seine-et-Marne dans l’arrondissement de Meaux, 15 km SSE de Meaux dans la CA de Coulommiers Pays de Brie. La ville est sur la rive droite du Grand Morin et la N34. La commune résulte de la fusion, en 1972, de Crécy-en-Brie, qui avait 1 000 hab., et de La Chapelle-sur-Crécy, sa voisine à l’est, qui avait 920 habitants. La population est montée à 3 200 hab. en 1990 et poursuit sa croissance. Réputée «village de charme», pourvue d’une église des 13e et 15e s. et d’agréables promenades, Crécy sert de centre de services et de commerces pour de nombreuses communes voisines. Son finage s’étire d’ouest en est, au nord et à l’est de la vallée du Grand Morin. À l’est, le hameau de la Chapelle-sur-Crécy est au confluent du Morin et des rus de la Fosse aux Coqs et de Vaudessart; il a une collégiale. Le hameau de Férolles au nord, celui de Montbarbin à l’ouest, les hameaux de Mongrolle et Montaudier sont à l’est. La frayère du Marais est un espace naturel sensible de 7 ha (en partie à Couilly-Pont-aux-Dames). Crécy a un collège public, une maison de retraite publique, un Intermarché (100 sal.). La ville est le terminus d’un embranchement ferroviaire venant d’Esbly et qui suit la basse vallée du Grand Morin; une autre gare est un peu en aval, devant Villiers-sur-Morin. La forêt domaniale de Crécy occupe 1 100 ha au sein d’un massif de 2 500 ha, mais la commune n’en a qu’une petite partie. (3 040 Faremontais, 1 033 ha dont 550 de bois) est une commune de Seine-et-Marne dans la CA de Coulommiers-Pays de Brie, 9 km à l’ouest de Coulommiers. Le village se tient sur le plateau qui domine à l’ouest le confluent de l’Aubetin et du Grand Morin et, au nord, le finage s’arrête au pied du versant gauche du Grand Morin, près de la gare de Pommeuse. Le village est ainsi très décalé vers le nord d’une commune dont le finage s’étend jusqu’à 6 km au sud-est, dépassant la route de Coulommiers à Melun (D402) et englobant la moitié de la forêt de Malvoisine. Il conserve des restes de l’abbaye originelle, dont une église en partie du 12e s.; quelques commerces, dont un Intermarché (50 sal.). La population communale s’est tenue aux alentours de 900 à 1 000 hab. du début du 19e s. à 1965, puis s’est mise à croître, passant les 2 000 hab. vers 1995. (9 790 Fertois, 1 006 ha dont 200 de bois) est un ancien chef-lieu de canton de Seine-et-Marne dans l’arrondissement de Meaux, 20 km à l’est de Meaux dans la CA Coulommiers-Pays de Brie. La ville est au confluent de la Marne et du Petit Morin et s’étend dans leurs deux vallées, les lotissements récents tendant à coloniser les pentes et le rebord des plateaux, où subsistent des bois. Celui de la Barre est classé espace naturel sensible sur 33 ha. Le plateau au nord reste agricole, autour des hameaux de Favières, du Limon et de Morintru. La ville a une gare sur la voie ferrée de Paris à Strasbourg, un port de plaisance, plusieurs parcs et jardins dont celui de la Fontaine aux Pigeons, le château de la Barre (en partie du 15e s.), un hôtel de ville néo-gothique de 1885 et un théâtre de 1892. Elle est dotée de deux collèges et un lycée publics, un collège et un lycée privés, deux maisons de retraite privées; supermarché E. Leclerc (130 sal.), transports Marne et Morin (60 sal.). Il s’y tient un festival de musiques actuelles en mai. La commune se fit «capitale mondiale de la meulière» et présente une maison du meulier, un «sentier meulier» et le quai de meules du port aux Meules; centre d’art et musée de peinture Planson dans l’ancienne synagogue romano-byzantine de 1890, mémorial britannique. La Ferté avait déjà 4 000 hab. vers 1840 et sa population a lentement augmenté, le mouvement s’accélérant un peu dans les années 1960 et depuis 1980: 4 800 hab. en 1900, 5 000 en 1954, 7 000 en 1982, 8 600 en 1990. Le nouveau canton de La Ferté-sous-Jouarre a 47 communes, 62 700 hab. (2 690 Guérardais, 1 980 ha dont 295 de bois) est une commune de Seine-et-Marne dans la CA Coulommiers Pays de Brie, 12 km à l’ouest de Coulommiers. Le village principal est sur un lobe de méandre du grand Morin, côté sud. La voie ferrée passe ici sur le rebord du plateau et la gare est sur le pédoncule du méandre au sud du village. Plusieurs hameaux se dispersent sur les plateaux au sud (Genevray, Courtry) et surtout au nord, dont le Charnoy, Montbrieux et Monthérand. Guérard avait 2 000 hab. au début du 19e s., 880 seulement au minimum de 1962, et croît depuis; elle a passé les 2 000 hab. en 2000. (4 350 Jotraciens, 4 219 ha dont 1 010 de bois) est une commune de Seine-et-Marne dans la CA Coulommiers Pays de Brie. Le bourg est sur le plateau qui domine la vallée du Petit Morin et la ville de La Ferté-sous-Jouarre, au sud de celle-ci à 2 km. La commune se signale surtout par ses cryptes mérovingiennes du 7e siècle, très réputées; par une tour romane de l’Abbaye (11e s.), une église inscrite du 16e s.; elle propose un musée Briard de civilisation paysanne; une abbaye de bénédictines est en activité (bâtiments des 7e, 12e, 18e s.). Le château de Venteuil fut au début du 15e s. un haut lieu de l’esprit sous l’égide de Jussieu; il conserve parc et jardins du 18e s. Le finage de Jouarre s’étend largement sur le plateau de Brie en direction du sud-ouest, de part et d’autre de la D402. Il inclut la forêt domaniale de Choqueuse au sud-est (377 ha), de nombreux hameaux dont Courcelles-sous-Jouarre, le château et l’étang de Perreuse (ou Péreuse); des restes du château de Nolongues sont à la corne sud-est. Au nord-est, le finage englobe le bois de Moras de l’autre côté du Petit Morin, au bord duquel est le hameau de Vanry. La commune a une fabrique de vitrocéramiques Eurokera (160 sal.), un hôpital intercommunal (420 lits dont 18 médicaux); maison de retraite publique, maison de santé de Perreuse (psychiatrie, 75 sal.). Jouarre avait 2 700 hab. vers 1850, environ 2 000 entre 1911 et 1950, puis sa population a un peu augmenté, atteignant les 3 000 hab. vers 1986 et gagnant encore 910 hab. après 1999. (5 990 Mourousiens, 1 677 ha dont 260 de bois) est une commune de Seine-et-Marne dans la CA Coulommiers-Pays de Brie, 4 km à l’ouest de Coulommiers. Le bourg est à l’extrémité occidentale de la commune dans la vallée du Grand Morin, rive droite. Un peu au nord, sont le hameau et le château de Voisins avec une petite partie de l’aérodrome de Coulommiers-Voisins, qui est surtout dans la commune de Giremoutiers. Le château de Montblu est à l’est. Le finage va un peu au sud du Grand Morin, où passe la voie ferrée (gare). Le plateau au sud porte les hameaux des Courrois et des Parrichets. Mouroux a un collège public et quelques ateliers et commerces. La commune s’est longtemps tenue autour de 1 800 hab.; puis sa population a crû à partir de 1970; elle était de 3 600 hab. en 1990, 4 240 en 1999, gagnant +41% dans le quart de siècle suivant. (3 040 Pommeusiens, 1 280 ha) est une commune de Seine-et-Marne dans la CA Coulommiers Pays de Brie, 5 km à l’ouest de Coulommiers. Elle est axée sur la vallée du Grand Morin à l’ouest de Mouroux, autour du confluent de l’Aubetin. Son habitat y est très dispersé. Le village de Pommeuse au sens strict est une rue sur la rive droite de l’Aubetin en amont du confluent. Le gué de Pommeuse fut un lieu de passage privilégié, emprunté par une voie antique en direction de Meaux, puis un site de pont, ce dont semble témoigner le nom même de Pommeuse, jadis Pons Magra donc Pont-du-Morin (Magra ou Mugra était l’ancien nom du Morin). Les quartiers de Vauxpleurs et Tresmes s’alignent au contraire le long de la rive droite du Grand Morin, en contrebas du hameau du Charnois qui se tient sur le plateau au nord; la gare et le hameau de la Bilbauderie sont sur la rive gauche du Morin en aval du confluent. Au nord, le finage est limité par la N34. Pommeuse a un château du 19e s. Elle avait 1 300 hab. au début du 19e s., 1 000 à la fin, un peu moins de 1 200 en 1954, et croît depuis (+520 hab. après 1999). L’aérodrome de Coulommiers-Voisins (XWA/LFPK) occupe 304 ha, surtout à Pommeuse, en partie à Maisoncelles, Mouroux et Giremoutiers; il dispose d’une piste bitumée de 1 400 m, deux gazonnées de 650 m, et de deux aéroclubs; il est géré par les Aéroports de Paris et très fréquenté: on y enregistre quelque 60 000 mouvements annuels. (2 100 Villermonnois, 628 ha) est une commune de Seine-et-Marne dans la CA de Coulommiers-Pays de Brie au bord du Grand Morin, 2 km à l’ouest de Crécy-la-Chapelle. Elle a un château et contient le hameau de Dainville côté ouest sur le plateau, où le territoire communal atteint aussi la forêt domaniale de Crécy au bois des Écoliers. C’est à Villiers que Jean Bruller s’installa et écrivit en 1941 Le Silence de la Mer sous le nom de Vercors. La commune avait 610 hab. à son minimum de 1962 et a crû sensiblement depuis. |