Bassée-Montois (la)

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communauté de communes de Seine-et-Marne au sud-est, associant 42 communes et 23 230 hab. sur 42 180 ha. Le siège est à Donnemarie-Dontilly, qui dépasse 2 000 hab. ainsi que Bray-sur-Seine.

Mons-en-Montois (450 Montoyens, 623 ha) est 2 km à l’ENE de Donnemarie-Dontilly, dans le vallon du ruisseau de Mons, petit affluent de gauche de l’Auxence qui coule vers l’est. Le finage de Mons atteint à l’ouest le cours supérieur de l’Auxence en amont de Donnemarie; son église est classée. Le nom de la commune était simplement Mons avant 1924; elle a eu un creux à 240 hab. dans les années 1970 et a gagné une cinquantaine d’habitants depuis 1999.

Thénisy (310 Thénisiens, 537 ha) est à 4 km ENE de Donnemarie-Dontilly, au confluent du ruisseau de Mons et de l’Auxence. Le finage atteint au sud le tracé de la D403. Thénisy a eu plus de 600 hab. vers 1840 et sa population a décliné jusqu’à 155 hab. en 1982; elle augmente depuis et a gagné 70 hab. après 1999.

Sigy (67 Sigyssois, 473 ha) est 4 km à l’est de Donnemarie-Dontilly près de la rive droite de l’Auxence. Son petit finage est sur le revers du coteau de Seine et porte un bois; un château du 14e au 18e s., à douves, est au bord de l’Auxence. La D403 traverse au nord.

Paroy (180 Paroyens, 425 ha) est 6 km à l’est de Donnemarie-Dontilly au-delà de l’Auxence; elle a une église classée à façade austère; il reste des douves du château.

Savins (600 Savinois, 600 ha dont 250 de bois) est à 8 km au NE de Donnemarie-Dontilly, tout près de la route rectiligne D209 qui suit à peu près le tracé d’une ancienne voie romaine de Sens à Meaux. Le petit hameau de Four est sur cette route au sud. Le village est sur une butte qui monte à 153 m; le relief de son finage, proche du coteau de Seine, est assez mouvementé. Savins a une église inscrite (13e et 16e s.). Le minimum de sa population a été de 330 hab. en 1968, alors que la commune en avait plus de 700 au début du 19e s. La population augmente depuis (+80 hab. après 1999).

Lizines (190 Lizinois, 577 ha) est sur la D 209, 9 km au NE de Donnemarie-Dontilly et a une église classée à clocher fortifié du 13e s. Son finage, borné au nord par la voie ferrée Paris-Bâle, s’étire dans le sens ouest-est. Sa population est tombée d’un coup de 590 hab. à 140 en perdant en 1874 le territoire de Sognolles; elle n’en avait pas 100 autour de 1970, 160 en 1999.

Sognolles-en-Montois (360 Sognolots, 1 012 ha) est à 6 km au nord-est de Donnemarie-Dontilly. Elle s’est détachée de Lizines en 1874, avec 430 hab.; elle n’en avait plus que 160 en 1975, avant d’en regagner quelque peu. La mention «en Montois» est de 1919. La source de l’Auxence est au NO du finage.

Cessoy-en-Montois (220 Cessoyens, 526 ha) est à 4 km au NNE de Donnemarie-Dontilly. La mention «en Montois» est de 1936. La population, de 400 ha en 1800, était tombée à moins de 140 hab. en 1982. Elle a repris 50 hab. après 1999.

Meigneux (240 Meigneusiens, 776 ha dont 330 de bois) est à 5 km NNO de Donnemarie-Dontilly au bord de l’Auxence; tout l’ouest du finage est dans le bois de Saint-Martin et Saint-Loup. Elle n’avait pas 120 hab. en 1968, 180 en 1999 et a gagné un tiers ensuite.

Gurcy-le-Châtel (570 Gurcyssois, 1 259 ha dont 694 de bois), 3 km OSO de Donnemarie-Dontilly, possède un château au village, des ruines d’un autre plus à l’est. Le finage lance au NO une queue dans le bois de Saint-Martin et Saint-Loup, où se cache un gouffre. Le hameau de Chalautre-la-Reposte au centre est une ancienne commune, intégrée en 1968 avec une centaine d’habitants. La population a baissé ensuite (350 hab. en 1990) mais a regagné 180 hab. après 1999 (+46%). La commune a eu jusqu’en 2003 une école des métiers d’Électricité de France et ses rues portent des noms de savants ayant contribué à la connaissance de l’électricité; un centre d’instruction de pompiers lui a succédé en 2006.

Villeneuve-les-Bordes (620 Villeneuvois, 2 060 ha dont 1 124 de bois) est 6 km ONO de Donnemarie-Dontilly sur la route de Nangis; elle a un clocher inscrit, et contient les hameaux de Valjouan au nord et des Bordes au nord-ouest, celui-ci conservant un château du 18e s. avec parc. Le bois de Putemuse (ou Pute-y-Musse…) ferme la commune à l’ouest. Valjouan était une commune, absorbée en 1841 avec 130 hab. Supérieure à 400 hab. jusqu’en 1926, la population communale n’était plus que de 290 hab. entre 1962 et 1975; elle croît lentement depuis (+40 hab. après 1999).

Coutençon (270 Coutençonnais, 623 ha dont 413 de bois) est10 km OSO de Donnemarie-Dontilly, dans une petite clairière de la forêt domaniale de Villefermoy qui n’est ouverte que vers l’ouest. Un petit gisement de pétrole y est exploité par la société Vermilion au NE du finage à la Brémonderie. La commune n’avait plus qu’une centaine d’habitants entre 1962 et 1975 (et même 79 en 1968) au lieu de 220 vers 1900; sa population augmente depuis. Elle a 90 hab. de plus qu’en 1999 (+50%).

Montigny-Lencoup (1 400 Montanussiens, 2 037 ha dont 800 de bois) est à 5 km SO de Donnemarie-Dontilly sur la D210 puis D403 (Voie de la Liberté) et dans le vallon du ruisseau d’Égligny qui coule vers l’est avant de rejoindre la Seine à Égligny. Elle a une église inscrite, plusieurs hameaux dont la Fontaine Geoffroy, la Fontaine Couverte, Orvilliers; le bois du Fresnoy est à l’ouest, celui de Malvoisine au nord. Proche de 1 300 hab. en 1840, la population communale s’était abaissée autour de 650 hab. entre 1930 et 1975; elle a sensiblement augmenté ensuite (+160 hab. depuis 1999).

Égligny (320 Églignyciens, 1 658 ha dont 400 de bois) est à 6 km SSO de Donnemarie-Dontilly, au bord de la Vieille Seine, des étangs qui l’accompagnent, de la voie ferrée et de la D18 qui la longent. Elle n’avait que 200 hab. en 1982 alors qu’elle avait dépassé les 400 autour de 1880; +40 hab. depuis 1999. Son église à haut clocher est inscrite; un peu au nord, se voient le château et l’ancienne abbaye ruinée de Preuilly (12e au 16e s.).

Châtenay-sur-Seine (1 070 Châtenaisiens, 1 303 ha) est 2 km à l’aval d’Égligny, 7 km au sud-ouest de Donnemarie-Dontilly. La commune contient les hameaux du Plessis à l’ouest; de la Chapelle au sud sur la Vieille Seine. Le plan d’eau de la Bachère est l’objet d’un arrêté de protection de biotope sur 29 ha. La population était de 510 hab. en 1975, moins qu’en 1860 (740 hab.); elle augmente depuis, gagnant 110 hab. après. 1999.

La Tombe (200 Tombiers, 784 ha) est à 11 km SSO de Donnemarie-Dontilly; 4 km au sud de Châtenay sur le canal de dérivation de Bray, de l’autre côté de la Vieille Seine et des étangs et sur la D411. La Tombe avait 300 hab. en 1851, seulement 120 en 1931, 150 en 1975.

Gravon (160 Gravonais, 755 ha), limitrophe de l’Yonne, est à 10 km au sud de Donnemarie-Dontilly et 10 km à l’ouest de Bray, sur la rive gauche de la Seine et un peu au nord du canal de la Tombe; des étangs de gravières sont même au sud du canal; une héronnière est l’objet d’un arrêté de protection de biotope (50 ha). Au sud, le finage est écorné par la A5 (aire de repos) et la LGV Paris-Lyon. La population municipale était tombée à 56 hab. en 1968 et progresse depuis.

Balloy (350 Balloyeux, 1 322 ha dont 300 de bois), limitrophe de l’Yonne, est 11 km au sud de Donnemarie-Dontilly, 3 km à l’ouest de Bazoches-lès-Bray, et proche de la Seine, doublée par le canal latéral; château avec parc, étangs au nord, D411 au sud. La population était tombée à moins de 200 hab. dans les années 1960, a augmenté ensuite mais stagne depuis 1999.

Bazoches-lès-Bray (880 Bazochois, 2 269 ha dont 730 de bois) est à 5 km OSO de Bray-sur-Seine au carrefour de la D411 O-E et de la D412 N-S. Son finage, limitrophe de l’Yonne au sud, atteint au nord le cours de la Seine canalisée, au bord duquel est le petit hameau de Dagourneau. La commune avait 490 hab. en 1962 et croît lentement depuis, gagnant 100 hab. après 1999.

Vimpelles (520 Vimpellois, 1 133 ha dont 284 de bois) est à 5 km SSE de Donnemarie-Dontilly sir le Vieille Seine; elle a une église classée à haut clocher des 13e au 16e s. Le gros hameau de Cutrelles est au pied du coteau de Seine, à 2 km au nord du village sur la D213. Vimpelles a connu son minimum de population en 1990 (330 hab.); elle avait 670 hab. en 1861 et a gagné 80 hab. après 1999.

Luisetaines (240 Lusitaniens, 504 ha) est à 5 km ESE de Donnemarie-Dontilly. Le finage atteint le cours de l’Auxence à l’est et au sud, mais ne mord pas sur la plaine inondable et le village est sur coteau, 2 km au nord, sous le bois de Sigy; il offre un écomusée de Bassée-Montois. La voie ferrée longe l’Auxence à la limite sud du finage. Le nombre d’habitants varie assez peu, mais a eu son minimum à 174 hab. en 1975.

Saint-Sauveur-lès-Bray (370 Saint-Salvatoriens, 652 ha dont 325 de bois) est à 8 km au SE de Donnemarie-Dontilly, 4 km NO de Bray-sur-Seine dans la plaine alluviale à étangs où la Voulzie conflue avec la Seine. À la limite sud de la commune, le domaine de la Goujonne est un village de vacances de 150 chalets aménagé autour d’un plan d’eau. La commune n’avait plus que 69 hab. en 1962 (240 dans la première moitié du 19e s.). Elle a 80 hab. de plus qu’en 1999.

Les Ormes-sur-Voulzie (860 Ormois,1 222 ha dont 400 de bois) est un assez gros village à 6 km au nord de Bray-sur-Seine, 8 km à l’est de Donnemarie-Dontilly sur la route de Provins et la voie ferrée vers Troyes (mais sans gare), flanqué par le hameau de Couture à l’ouest et celui du Moulin d’Ocle à l’est. Il a deux maisons de retraite publiques, une usine de produits réfractaires Savoie (40 sal.), un musée de la vie d’autrefois. Au nord, le finage monte un peu sur le talus qui prolonge la côte d’Île-de-France. La population, longtemps assez stable, augmente depuis le creux de 1975 (650 hab.).

Jutigny (540 Jutigniaciens, 460 ha) est sur la rive droite de la Voulzie, 8 km ENE de Donnemarie-Dontilly, à la bifurcation des routes D412 et D403 qui viennent de Provins, 10 km en aval de Provins. La commune a été créée en 1870 à partir de Paroy; elle avait alors 330 hab. Jutigny en a eu 380 en 1931, 310 seulement en 1962, puis sa population a sensiblement augmenté jusqu’en 1999, guère depuis.

Chalmaison (710 Chalmaisonais, 1 004 ha dont 378 de bois) est à 11 km à l’est de Donnemarie-Dontilly sur la rive gauche de la Voulzie et l’embranchement ferroviaire vers Longueville. Le village a une église classée et un château du 19e s. Son finage occupe l’entonnoir du débouché de la Voulzie dans la Bassée, encadré de buttes montant à 154 m et portant les ruines de la tour des Maréchaux ainsi que le bois de Tachy. Tachy est un hameau au nord de Chalmaison, dont le château accueille un collège privé du groupe de recherches pédagogiques Françoise Dolto (la Neuville). Chalmaison a une fabrication d’articles en caoutchouc Otico (95 sal.). Elle n’avait que 360 hab. en 1968.

Éverly (580 Éverlytois, 876 ha dont 352 de bois) est à 11 km ESE de Donnemarie-Dontilly à l’est des Ormes, de l’autre côté de la Voulzie et sur la voie ferrée vers Troyes. Son finage ne s’étend guère que vers le sud, dans la plaine inondable et boisée sillonnée de bras de la Seine, où il participe à la Réserve naturelle de la Bassée. Sa population est en progrès depuis les 290 hab. de 1975; elle dépassait 500 hab. dans la première moitié du 19e s.

Mouy-sur-Seine (370 Mouytois, 862 ha) est un village sur la rive droite de la Seine juste en face de Bray-sur-Seine, avec une église inscrite. Son finage est dans la plaine alluviale et comprend à l’ouest le hameau du Vieux-Mouy, à l’est les deux Peugny. Le nombre des habitants est très stable.

Mousseaux-lès-Bray (870 Mousseautois, 867 ha), limitrophe de l’Yonne, est juste à l’ouest de Bray-sur-Seine près de la rive gauche du fleuve. Son finage va en se rétrécissant jusqu’à la limite régionale au sud; supermarché (30 sal.). La population augmente lentement depuis le début du 19e s., où elle était de 390 hab.; elle atteignait 500 hab. en 1982, 630 en 1999 (+38% depuis).

Montigny-le-Guesdier (310 hab., 789 ha) est à 4 km au sud de Bray-sur-Seine, limitrophe de l’Yonne; église inscrite, grange dîmière du 16e s. La commune a eu plus de 400 hab. autour de 1850, 170 seulement en 1975.

Jaulnes (350 Jaulnois, 1 584 ha dont 216 de bois) est à 3 km en amont de Bray-sur-Seine sur la rive droite de la Seine et la D411. Le finage est limitrophe de l’Yonne dans la craie du Sénonais; au nord, il inclut rive droite le gros hameau de Neuvry et un étang. Le hameau et le château de Villeceaux (15e, 16e et 18e s. avec parc et longue pièce d’eau) sont à 2 km au SO du village. La population augmente un peu depuis le minimum de 1975 (220 hab.); elle a gagné 40 hab. après 1999.

Villenauxe-la-Petite (450 Villenauxois 2 081 ha), limitrophe de l’Yonne, est à 6 km ESE de Bray-sur-Seine et son église est classée; son finage atteint au nord la D411 et le cours de la Seine au hameau de Toussacq. Il comprend au nord-est le hameau de Vernoy, au sud-est celui de Briotte, au sud-ouest celui de Villiers-sur-Terre, et monte au sud à 140 m sur la butte le Queue Chat. Villenauxe n’avait plus que 290 hab. en 1975 et 1982. Elle a gagné 70 hab. après 1999.

Baby (110 Bédoins, 412 ha), limitrophe de l’Yonne, a un finage étroit de direction N-S et un très petit village, 6 km ESE de Bray-sur-Seine.

Villuis (260 Villuisiens, 926 ha), limitrophe de l’Yonne, a son village à 11 km ESE de Bray-sur-Seine à la tête d’un vallon qui descend vers la Seine en passant par Passy. Villuis a eu 440 hab. en 1866, 160 seulement en 1975.

Fontaine-Fourches (590 Fourchois, 1 184 ha dont 200 de bois), limitrophe de l’Yonne, est la commune francilienne la plus éloignée de Paris, 13 km à l’est de Bray-sur-Seine. Elle a un beau village-rue longeant un bois. Sa population a culminé à 800 hab. en 1866, et n’était plus que de 380 hab. en 1975. Son finage est drainé au nord-est par l’Orvin; transports par cars Moreau (160 sal.).

Passy-sur-Seine (45 Passitois, 453 ha), à 9 km ENE de Bray-sur-Seine, a un finage restreint, qui ne touche pas à la Seine ni même à la D411. Il est séparé de la limite régionale au sud par celui de Villuis.

Grisy-sur-Seine (110 Grisons, 657 ha) est à 8 km ENE de Bray, sur la rive gauche du fleuve. Son finage est partagé en deux parties distinctes de part et d’autre du fleuve, par une pointe de celui de Noyen. On y a trouvé des restes d’un temple païen d’oppidum à la ferme d’Isle, sur la rive droite.

Noyen-sur-Seine (390 Noyennais, 1 224 ha dont 335 de bois) est à 11 km ENE de Bray-sur-Seine près de la rive gauche de la Seine et a un château du 16e au 18e avec parc; le village est doublé au bord de la route (D411) par le hameau des Perches, et au nord, au-delà de la Seine rive droite, par celui du Port Montain. La population municipale a eu son maximum en 1861 (550 hab.), son minimum en 1982 (230 hab.); +60 hab. après 1999.

Villiers-sur-Seine (300 Villerots, 1 137 ha), dont le finage jouxte celui d’Hermé, est à 13 km ENE de Bray-sur-Seine. Le village est entre la D411 et la rive gauche de la Seine; au nord, arrive le canal de dérivation de Beaulieu; à l’est, le finage atteint le confluent de la Seine et de l’Orvin qui vient du sud-est. La commune a eu 490 hab. en 1851, mais seulement 220 à 230 hab. de 1954 à 1975.

Hermé (630 Hermillons, 1 590 ha dont 435 de bois) est 13 km NE de Bray-sur-Seine au ras de la plaine alluviale, sur la voie ferrée vers Troyes, prolongé vers l’est par les hameaux de Toury et des Chaises. Au nord, le territoire d’Hermé monte sur le talus jusqu’à la forêt domaniale de Sourdun. Au sud, il atteint le bras de la Vieille Seine, mais non le cours actuel du fleuve. La commune a eu 770 hab. en 1861, 360 en 1975 et a crû de 90 hab. après 1999.

Gouaix (1 360 Gouaillons, 1 464 ha dont 248 de bois), 10 km NE de Bray-sur-Seine, a un gros village formant une rue qui dévale le talus du plateau; bifurcation ferroviaire au sud. Il est doublé au bord de la plaine et de la voie ferrée par le hameau de Flamboin, qui abrite un château en partie du 16e s., avec parc. Le finage atteint au sud un bras de la Seine dans le bois de Veuve. Gouaix est le siège du site de la réserve naturelle nationale de la Bassée, qui s’étend sur 855 ha dans sept communes. Elle avait déjà 1 000 hab. entre 1836 et 1914, mais seulement 760 en 1962, et sa population croît régulièrement depuis.