' communauté de communes du département de l’Isère, associant 50 communes et 55 000 hab. sur 69 560 ha. Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs (siège), Brézins, Châtonnay, La Côte-Saint-André, Porte-des-Bonnevaux, Saint-Jean-de-Bournay, Saint-Siméon-de-Bressieux ont plus de 2 000 hab. Sillans (1 980 Sillannais, 1 261 ha) est 4 km à l’est de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs sur la D519 à 410 m. De 1 200 hab. en 1860, sa population avait baissé à moins de 900 entre 1920 et 1954, et croît depuis. Elle a gagné 550 hab. après 1999 (+38%). Saint-Geoirs (510 Saint-Geoirdeaux, 693 hab.) est 3 km au SE Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs dans le vallon du Rival à 452 m. Une grotte de Mandrin est face au village sur le versant droit du Rival mais dans le finage de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs. Plan (280 Planots, 611 ha) est à 7 km au SE de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs dans les collines à 600 m; escalier de six étangs au NO dans un vallon; +90 hab. depuis 1999 (+47%). Saint-Paul-d’Izeaux (300 Saint-Pautois, 763 ha) est à 9 km ESE de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs à 559 m dans les collines au sud d’Izeaux; la population est la même qu’en 1999. La Forteresse (340 Fortariaux, 922 ha) est à 8 km au SE Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs dans le vallon du Rival à 537 m. Elle a plusieurs petits hameaux et 100 hab. de plus qu’en 1999. Saint-Michel-de-Saint-Geoirs (300 Saint-Micharauds, 714 ha) est à 6 km SSE de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs à 580 m avec un petit village très étalé; +50 hab. après 1999. Brion (150 Brionnais, 394 ha) est à 6 km au sud de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs à la tête d’un vallon à 565 m. Saint-Pierre-de-Bressieux (780 Saint-Pierrois, 2 308 ha dont 1 535 de bois) a son village à 7 km au SO de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs à 480 m; le finage s’étend au sud dans la forêt domaniale de Chambaran, où a été arrangé un parc naturel avec animaux; nombreux étangs, dont l’étang Revel, à 654 m: son plan d’eau se limite à 4 ha mais a été remodelé et aménagé à partir de 1967 en vue de l’évolution de modèles réduits de navires (gros pétroliers notamment) pour la formation des commandants de bord, sous l’égide de la SOGREAH; le Centre d’entraînement à la manœuvre des navires de Port-Revel y dispose de 9 maquettes, allant jusqu’à 10,5 m de long, plus des remorqueurs, et emploie une douzaine de personnes. Maquettes et installations sont des réductions au 1/25e des navires et bassins réels. Bressieux (94 Bressieurots, 89 ha), 8 km OSO de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs à 520 m, juste au SE de Saint-Siméon-de-Bressieux, est une minuscule commune sur une colline où subsistent les hautes tours portières de l’ancien château médiéval (13e s.), où a été aménagé un assez riche musée historique; foyer d’adolescents à la ferme du Colombier. Châtenay (440 Chatenois, 462 ha) est à 10 km OSO de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs juste à l’ouest de Saint-Siméon à 420 m; +130 hab. après 1999 (+42%). Marnans (140 Marnanchots, 660 ha) est à 13 km au SO de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs au SE de Viriville, en habitat dispersé sans village. Roybon (1 150 Roybonnais, 6 731 ha dont 3 500 de bois) est un ancien chef-lieu de canton, au bord de la Galaure à 16 km au SO de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs, à 500 m au sein des reliefs du Chambaran. Le finage est limitrophe de la Drôme au SO. Le bourg a été actif, mais a beaucoup perdu depuis les 2 700 hab. des années 1840 et sa population est à son minimum depuis 1975; elle a baissé de 130 hab. depuis 1999. La commune conserve un collège public et même un hôpital local de 20 lits médicaux (130 en tout); négoce agricole Margaron (25 sal.); plan d’eau avec base de loisirs. Une abbaye de la Trappe s’isole au sud, dans la forêt domaniale de Chambaran. Viriville (1 720 Virivillois, 3 046 ha dont 540 de bois) est à 12 km OSO de de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs; Pare-brise minute (45 sal.), transports Trans Agri (45 sal.) et Royot (25 sal.). Le finage contient au sud-ouest le grand camp militaire de Chambaran (1 444 ha), qui déborde sur Saint-Clair-de-Galaure et même sur Le Grand-Serre dans la Drôme. Sa population, de plus de 2 000 hab. avant 1855, était descendue à 1 100 dans les années 1960-1980; elle augmente depuis (+450 hab. après 1999, +35%). Montfalcon (140 Montfalconnais, 582 ha) est à 22 km au SO de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs, limitrophe de la Drôme, dans la vallée de la Galaure; +40 hab. après 1999. Saint-Clair-sur-Galaure (270 Saint-Clairois, 1 530 ha dont 352 de bois) est à 24 km SO de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs, limitrophe de la Drôme. Le village est au bord de la Galaure; le finage s’étend au nord sur le plateau, englobant une partie du camp militaire (champ de tir) du Chambaran, où est l’étang Grand de Vienne (12 ha). Thodure (800 Thodurois, 1 440 ha), 3 km à l’ouest de Viriville, 16 km OSO de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs, limitrophe de la Drôme au SO, a une maison d’enfants, et a gagné 200 hab. (un tiers) depuis 1999; le finage est borné au nord par la Raille. Lentiol (250 Lentiolois, 760 ha dont 354 de bois), limitrophe de la Drôme, 22 km OSO de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs à 420 m, est dans une échancrure du plateau, et a des grottes. Le champ de tir du Chambaran déborde sur le finage au SE. La commune a 100 hab. de plus qu’en 1999. Marcollin (650 Marcollinois, 1 069 ha), 25 km OSO de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs, à 5 km au SE de Beaurepaire, héberge une métallerie Bect (35 sal.); elle a gagné 180 hab. depuis 1999. Beaufort (600 Beaufortois, 869 ha), 20 km OSO de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs, a une installation de pisciculture (Murgat, 20 sal.), et 180 hab. de plus qu’en 1999 (+43%). Pajay (1 140 Pajaytois, 1 432 ha) est à 18 km ONO de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs, avec un habitat assez dispersé. La vallée encaissée du Suzon borde le finage à l’ouest; à son débouché dans la plaine de Bièvre se tient le hameau des Roches. La commune a 330 hab. de plus qu’en 1999 (+40%). Marcilloles (1 200 Marcillolais, 950 ha), 14 km à l’ouest de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs, est au nord de Viriville au bord de la plaine de Bièvre, son village juste contourné par la D519; atelier de traitement de surfaces France Alu Color du groupe Installux (90 sal.). La commune, en lente croissance depuis 1975, a gagné 430 hab. après1999 (+56%). Sardieu (1 180 Sardieurots, 1 120 ha) est à 12 km ONO de Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs, 6 km au SO de La Côte-Saint-André; hameau de Poiponnier juste au sud, de l’autre côté de la petite vallée du Poipon; poipe a le sens régional de butte, hauteur. La population a presque doublé depuis les 610 hab. de 1999. Ornacieux-Balbins (880 hab., 1 215 ha) est une commune nouvelle créée par fusion en 2019. Elle unit deux villages accolés à 4 km à l’ouest de La Côte-Saint-André, dans une petite cluse, Balbins (460 hab., 726 ha) au SE, Ornacieux (420 hab. 489 ha, mairie) au NO, avec un habitat épars. La D518 traverse en cluse à l’est; château Donis au-delà. Leur population a gagné 270 hab. depuis 1999 (+44%). Penol (380 Penolois, 1 216 ha), 8 km à l’ouest de La Côte-Saint-André juste à l’est de Faramans, a une enclave de 40 ha allongée dans la plaine de la Bièvre le long de la D75, au Contant, 3 km au SO du finage principal et au sud de celui Pajay. Faramans (1 120 Faramantois, 1 079 ha dont 226 de bois), 8 km à l’ouest de La Côte-Saint-André, a une base de loisirs (les Eydoches) avec étang, camping et golf et accueille une fabrique de remorques agricoles Fadoul Gilibert (FG, 90 sal.), au groupe belge Clarinval. La commune, en progrès depuis 1975 (510 hab.) a gagné 370 hab. après 1999 (+49%). Bossieu (320 Bossiérots, 1 348 ha) est à 11 km NO de La Côte-Saint-André. Le finage s’étend au nord sur le plateau de la forêt de Bonnevaux, parsemé d’étangs; +40 hab. après 1999. Lieudieu (360 Lieudiérois, 594 ha dont 280 de bois), 11 km NO de La Côte-Saint-André, occupe une clairière dans la forêt de Bonnevaux, sur la D518. Elle a eu un prieuré bénédictin du 6e siècle, mais tire son nom (Locus Dei, 12e s.), de l’abbaye de Bonnevaux, créée en 1117 et dont il ne reste rien hors le site. La commune avait à peine 130 hab. autour de 1970 et a gagné 110 hab. après 1999. Villeneuve-de-Marc (1 200 Villeneuvois, 2 618 ha dont 800 de bois) est à 17 km NO de La Côte-Saint-André, au NO de Porte-des Bonnevaux, avec des lotissements. Le village est dans la vallée de la Gère; au sud, le finage englobe une part de la forêt de Bonnevaux. Le château de Bonnevaux, héritier de l’ancienne abbaye, est dans la commune au SE, juste à la limite du finage de Porte-de-Bonnevaux et près de la D518. Le nom est apparu au 13e s. La population, qui était de 700 hab. au minimum de 1975, est en augmentation sensible: +310 hab. après 1999 (+35%). Savas-Mépin (900 Savasiens, 1 043 ha) est à 21 km au NO de La Côte-Saint-André. Les deux villages, associés dès les années 1790, se font face de part et d’autre de la vallée drainée par la Gervonde et l’Ambalon, qui confluent à Savas. Savas est au nord au pied du coteau, avec un habitat épars. Mépin est au SE, avec la mairie. Entre les deux passent la D502 et la LGV, qui se croisent dans la plaine. La commune a 320 hab. de plus qu’en 1999 (+55%). Beauvoir-de-Marc (1 130 Beauvoisards, 1 127 ha), est à 25 km NO de La Côte-Saint-André dans la vallée de l’Ambalon, qu’empruntent la D518 et la LGV; atelier de mécanique (G3S, 25 sal.). Sa population croît depuis le minimum de 1968 (450 hab.); elle a augmenté de 190 hab. après 1999. Royas (400 Royassois, 548 ha) est au pied du versant nord de la vallée drainée par la Gervonde, à l’est de Saint-Jean-de-Bournay, avec un habitat dispersé; +90 hab. après 1999. Artas (1 870 Artasiens, 1 415 ha) est à 22 km NNO de La Côte-Saint-André sur un coteau à 407 m; hameaux de la Grande Forêt au NE, du Revolet à l’ouest. La commune a 530 hab. de plus qu’en 1999 (+40%). Meyrieu-les-Étangs (1 060 Meyruyards, 854 ha), 17 km NNO de La Côte-Saint-André, a son village sur la D522 au bas du versant droit de la Gervonde, avec plusieurs étangs dans la vallée, dont l’étang du Moulin (8 ha) doté d’une base de loisirs avec camping; institut médico-professionnel (50 sal.). Meyrieu a 280 hab. de plus qu’en 1999 (+36%). .La mention les-Étangs a été ajoutée en 1967. Saint-Agnin-sur-Bion (1 130 Saint-Agneaux, 970 ha) est à 21 km au nord de La Côte-Saint-André, 7 km au SO de Bourgoin-Jallieu sur la D522 au bord du Bion; hameau de l’Orme à l’est; elle a gagné 440 hab. depuis 1999 (+64%). Culin (780 Culinois, 732 ha) est à 18 km au nord de La Côte-Saint-André; +250 hab. après 1999 (+47%). Tramolé (810 Tramoliens, 699 ha) est à 16 km au nord de La Côte-Saint-André; elle a gagné 330 hab. depuis 1999 (+69%). Sainte-Anne-sur-Gervonde (740 Trablinots, 767 ha), 14 km NNO de La Côte-Saint-André, est bornée au nord par le cours de la Gervonde, assorti de plusieurs étangs. Elle a 330 hab. de plus qu’en 1999 (+80%). Champier (1 480 Champerois, 1 443 ha dont 404 de bois), 8 km NNE de La Côte-Saint-André, aligne ses maisons le long de la D1085 à 507 m; carrières Gachet (50 sal.), bétons Gachet (25 sal.), travaux publics Gachet (50 sal.) Sa population progresse depuis le minimum de 1968 (740 hab.) et a gagné 500 hab. après 1999 (+51%). Mottier (810 Mottiérots, 1 072 ha), 7 km ENE de La Côte-Saint-André à 480 m, est longée par la D1058; +290 hab. après 1999 (+56%). Longechenal (600 Longechenots, 812 ha) est à 9 km ENE de La Côte-Saint-André à 510 m; +160 hab. depuis 1999 (+36%). La Frette (1 120 Frettois, 1 180 ha) est à 8 km à l’est de La Côte-Saint-André, sur la D1085 en position de carrefour, au pied de la côte Saint-André dans la plaine de Bièvre. Elle avait 1 500 hab. en 1841, 730 en 1975; elle croît depuis et a gagné 280 hab. après 1999 (un tiers). Saint-Hilaire-de-la-Côte (1 610 Saint-Hilairois, 1 375 ha), 5 km à l’est de La Côte-Saint-André, à 407 m, est dominée directement par le mont Avalon (644 m) et atteint au sud l’aéroport de Grenoble-Saint-Geoirs; +470 hab. après 1999 (+41%) Gillonnay (1 050 Gillonnois, 1 429 ha dont 250 de bois) est 3 km à l’est de La Côte-Saint-André au pied de la côte Saint-André sur la D73. Elle a un collège privé avec internat, un tissage de soieries (TSR, 20 sal.). La population communale progresse depuis les 500 hab. de 1960 mais n’a ajouté que 90 hab. après 1999. |