' communauté d’agglomération de la Seine-Maritime, associant 50 communes et 76 800 hab. sur 57 400 ha. Outre Lillebonne (siège), Arelaune-en-Seine, Bolbec, La Frénaye, Gruchet-le-Valasse, Port-Jérôme-sur-Seine, Rives-en-Seine et Terres-de-Caux ont plus de 2 000 hab. La communauté s’est agrandie en 2017 en intégrant les 15 communes de l’ancienne communauté du Cœur de Caux. Saint-Jean-de-Folleville (850 Follevillais, 1 373 ha dont 309 de bois), juste à l’ouest de Lillebonne, se partage entre une fraction de plateau au nord, où est le centre communal, et une large portion de la plaine de Seine au sud-ouest (600 ha hors Seine), dont les installations portuaires de Radicatel, dépendant du Port Autonome de Rouen, où sont deux entreprises de manutention et entreposage portuaire Logistique Val de Seine (Katoen Natie, 140 et 95 sal.) et RM Services (20 sal.); enlèvement d’ordures Oréade (30 sal.). Radicatel est un hameau au pied du coteau de Seine au nord-est, sous la Table du Mal Dîner, longé par la D982. La commune de ce nom a été absorbée par Saint-Jean en 1833. Sur le coteau face à Lillebonne, aux Champs Nigauds, on accède aux cavernes du Cheval Blanc. La population a augmenté de 100 hab. depuis 1999. Tancarville (1 310 Tancarvillais, 742 ha dont 132 de bois) est à 9 km SO de Lillebonne. Le village occupe un éperon entre deux anciennes courbes de méandres. Ici la Seine touche le coteau, qui fait face au Marais Vernier; c’était un excellent site pour un château fort: il reste des tours et des parties de l’enceinte de l’ancienne forteresse du 12e s., remaniée au 15e s. et complétée au 18e s. par un nouveau château et un parc. Au pied, s’est développé un hameau de route nommé les Alluvions. Une étroite queue du finage remonte dans le vallon encaissé de la Rivière de Tancarville à l’est. La commune avait 560 hab. en 1931 et sa population a crû ensuite, atteignant 1 250 hab. en 1999; gardiennage SPGO (95 sal.). Le pont de Tancarville, ouvert en 1959, a 1 410 m de long; il est formé de trois travées dont une de 608 m de portée à 51 m au-dessus du fleuve, et s’appuie au nord sur l’éperon de Tancarville. Il est emprunté par la N182 et reçoit au nord les apports des D982 au pied du coteau, de la D910 qui traverse le plateau. Le canal de Tancarville commence juste sous le pont, avec un petit port, et file jusqu’au port du Havre dans la plaine puis le long du coteau, sur 25 km, facilitant la navigation des péniches de Seine; il date de 1887 et a bénéficié de quelques aménagements depuis: la nouvelle et grande écluse de Tancarville (200 m de long) permet le passage de convois poussés de 10 000 t. Tancarville est néanmoins incluse dans le parc naturel régional. Saint-Nicolas-de-la-Taille (1 550 Scolatissiens, 925 ha dont 243 de bois), 7 km OSO de Lillebonne, est sur le plateau entre Tancarville et Sant-Jean-de-Folleville. Elle aligne ses maisons sur 3 500 m le long d’une échine entre le coteau de Seine et le profond val d’Églantier, qui la sépare de Tancarville. Elle contient aussi au NO le hameau de Beaufils. Sa limite septentrionale suit le tracé rectiligne de la D81, bordé de maisons; gardiennage Lancry (320 sal.); une grosse fabrique de joints pour automobiles de GDX Automotive (440 sal. en 2005, groupe états-unien GenCorp) a été fermée en 2008. La commune est incluse dans le parc régional. La population a augmenté de 490 hab. depuis 1999 (+46%). Petiville (1 160 Petivillais, 1 674 ha) est à 8 km au SE de Lillebonne, au-delà de Port-Jérôme. Le village est sur la fin du talus d’une terrasse de la Seine, avec pour annexe au nord le Petit Ourville au-delà d’un vallon. La plus grande partie du finage est dans la plaine, bordée par la Seine sur 6 300 m et presque vide; elle se termine en amont face au Vieux-Port (Eure). La commune envoie surtout des ouvriers à la raffinerie voisine; elle n’a guère qu’une fabrique de béton Cube (30 sal.) assortie de la location de camions GT Béton Services (95 sal.); réparations de matériels Dufour (20 sal.) et ETME (20 sal.); camping. La population a gagné 160 hab. depuis 1999. Saint-Maurice-d’Ételan (320 Saint-Mauriçais, 1 424 ha), 9 km ESE de Lillebonne, prolonge vers l’est l’urbanisation de Petiville, sur un relief de terrasse un peu plus élevé. Celui-ci accueille plus à l’est le beau château d’Ételan, commencé en 1494, restauré, de style renaissance au décor flamboyant, au murs de brique et pierre alternés, et flanqué d’un parc de 20 ha; il fait face à la forêt de Brotonne et il est un élément de l’écomusée du parc régional. Au nord, le finage monte sur le coteau de Seine par le hameau de Canteleu. Au sud, il s’élargit jusqu’à inclure 4,5 km de rive de Seine, mais la plaine est à peu près vide. Norville (990 Norvillais, 1 169 ha), 10 km ESE de Lillebonne, aligne ses maisons le long de talus de terrasse, qui atteint plus de 40 m de haut et rejoint le coteau de Seine près du hameau de Cantepie. Une partie du finage au nord est donc dans les collines de craie. Au SE, la plaine de la Seine est de forme triangulaire, longue de 3 km sur la rive nord-sud et large de 2,2 km en aval. Tout en amont, a été installée en 1972 une usine de traitement industriel de l’eau de Seine destinée à pourvoir aux besoins des usines chimiques de Gravenchon et Lillebonne. La commune a 160 hab. de plus qu’en 1999. Trois communes sont sur la rive gauche de la Seine. Elles occupent le grand méandre de Brotonne et en partagent la forêt. Vatteville-la-Rue (1 160 Vattevillais, 5114 ha dont 3 439 de bois), 9 km SSO de Rives-de-Seine, est face à Villequier et atteint au sud, en forêt, la limite du département. L’habitat est presque continu sur 5 km, le long de la terrasse de rive gauche. En forêt, réserve mixte des Landes au sud (115 ha). Le nom de la commune était seulement Vatteville jusqu’en 1982; son étymologie semble liée soit à wad, gué, soit à wat, marais. Le village fut un site de pêche et de gué; il a une église classée des 15e-16e s., la motte féodale du Quesnay (12e s.), une belle vue sur Villequier et son coteau. La population a augmenté de 250 hab. depuis 1999 (+27%). Notre-Dame-de-Bliquetuit (760 Bliquetuitais, 978 ha dont 184 de bois) est à 6 km SE de Rives-de-Seine par le pont de Brotonne, mais enclavée dans la commune nouvelle d’Arelaune-en-Seine, dans laquelle est entrée sa voisine d’aval Saint-Nicolas-de-Bliquetuit. Elle accueille la Maison du parc de Brotonne et un écomusée de la Basse Seine. La D490 traverse le finage à l’ouest; hameau du Bourg Corblin au sud, Bois du Mort à l’ouest. La population a augmenté de 190 hab. depuis 1999 (+33%). Heurteauville (320 Heurteauvillais, 726 ha dont 134 de bois) est à 12 km SE de Rives-de-Seine, devant Jumièges et en amont d’Arelaune. Le village aligne ses maisons au bord même de la Seine sur le cordon alluvial; un bac le relie à Yainville; grange dîmière et chapelle. En arrière, le finage est fait de marais et de la tourbière de la Harelle, au pied du coteau gauche rectiligne de la Seine. À l’extrême sud, le finage étroit atteint Port Jumièges, le bac de Jumièges et monte un peu sur le coteau de Seine. Un autre groupe de communes est à l’est de Caudebec, sur les reliefs vallonnés et en partie boisés. Grand-Camp (710 Grand-Campois, 491 ha), 8 km NE de Lillebonne, est un village du plateau, assorti d’un château (15e au 19e s. sur un site du 11e) avec un grand parc. Au sud, les hameaux des Communes et Goubertmoulin se sont peuplés de pavillons mais la population n’a augmenté que de 50 hab. après 1999. Saint-Nicolas-de-la-Haie (420 Nicolaysiens, 315 ha), 10 km NE de Lillebonne, a deux rues de maisons de part et d’autre d’un vallon encaissé, dont la Haute Rue au nord. Saint-Aubin-de-Crétot (550 Saint-Aubinois, 473 ha), 12 km NE de Lillebonne, a son village au sud-est du finage sur le plateau, avec un château (16e et 19e-20e) à grand parc au NO; +70 hab. depuis 1999. Saint-Gilles-de-Crétot (440 Saint-Gillois, 602 ha dont 149 de bois),14 km ENE de Lillebonne, a un finage accidenté à l’est et au sud par des vallons descendant vers l’Ambion. Au sud sur le plateau, châteaux avec murs et parcs de la Picotière (19e) et de la Viézaire (18e). Au NO, une rue de maisons suit la limite de Saint-Gilles et de Saint-Aubin. Crétot, jadis Cressetot, fut le nom d’une baronnie. La population a augmenté de 170 hab. depuis 1999 (+63%). Anquetierville (360 Anquetiervillais, 408 ha) est à 9 km ENE de Lillebonne; la D982 rectiligne traverse le finage au sud. Saint-Arnoult (1 380 Saint-Arnoultais, 1 386 ha dont 546 de bois), 13 km ENE de Lillebonne, a un gros village sur la D982. Le finage, vallonné au nord, porte au NE une partie de la forêt domaniale du Trait-Maulévrier. Il atteint au NE la vallée de l’Ambion, à l’est les maisons de Caudebec. Il descend au sud-est jusqu’au pied du coteau de Seine sous la Pommeraye et la Croix-Blanche, laissant toutefois à Rives-en-Seine une très étroite bande de rive, habitée et longée par la D81. La population n’a pas changé depuis 1999. Maulévrier-Sainte-Gertrude (1 000 Maléporariens, 1 416 ha dont 713 de bois), 22 km ENE de Lillebonne, est juste au nord de Caudebec-en-Caux sur le plateau, accidenté par les vallons de l’Ambion. Le village est au nord, frôlé par la D490 et voisin du site castral de la Butte du Diable, objet de recherches archéologiques; vestiges gallo-romains, église gothique du 16e s. Sainte-Gertrude est un hameau à l’ouest dans la vallée encaissée, environné de bois. Le finage s’étend loin au NO dans le relief accidenté de la forêt domaniale du Trait-Maulévrier, où n’est guère que le petit hameau de l’Ouraille. Au sud-est, Blanc Pignon, l’Enfer et la Haie des Prés forment un petit ensemble d’habitations entouré de bois. Sainte-Gertrude est une ancienne commune absorbée en 1823, mais Maulévrier ne l’a ajoutée à son nom qu’en 1965. La commune a gagné 70 hab. depuis 1999. Louvetot (710 Louvetotais, 737 ha), est à 21 km ENE de Lillebonne et 6 km SSO d’Yvetot, juste au nord de Maulévrier. La D490 traverse son finage à l’est. Au-delà se voit une butte castrale, devenue butte Henri IV, près du hameau du Vieux Louvetot; +120 hab. depuis 1999. Un groupe de communes relativement peuplées est au nord du territoire. Mélamare (890 Mélamarais, 635 ha), 8 km ONO de Lillebonne, 5 km SSO de Bolbec, est bornée au sud par la voie antique que suit à peu près la D81, et traversée à l’ouest par la D910, qui a fixé une petite zone d’activités non loin du château du 18e; levage et montage AMGE (30 sal.), travaux publics Telec (25 sal.); +120 hab. depuis 1999. Saint-Eustache-la-Forêt (1 120 Saint-Eustachais, 659 ha), 3 km SO de Bolbec, s’orne des châteaux du Val d’Arques (Louis XIII, en brique, silex et pierre) et de la Petite-Croix (Louis XVI). Le finage est traversé par l’ex-N15 (D6015), qui croise la D487 par un échangeur à l’entrée de la commune et dont se détache vers le sud-ouest la D910. Il donne au nord sur le vallon encaissé du Val d’Arques, affluent de la Rivière de Bolbec, dont il atteint à l’est la vallée. L’habitat dessine plusieurs rues indépendantes et a perdu 70 hab. depuis 1999; la population croissait depuis les 750 hab. des années 1910 à 1970. Saint-Antoine-la-Forêt (1 090 Saint-Antoinais, 644 ha), 4 km au sud de Bolbec et 7 km ONO de Lillebonne, a son village sur le plateau et touche au nord aux maisons de Bolbec dans la vallée de Bolbec. La limite sud du finage, rectiligne, suit une voie antique que reprend la D81, flanquée d’habitations des deux côtés sur une rue de 3 km, dont le quartier du Nouveau Monde. L’autre côté relève de Saint-Nicolas-de-la-Taille. La commune a 130 hab. de plus qu’en1999. La Trinité-du-Mont (830 Montois, 206 ha), 4 km au nord de Lillebonne, est sur le plateau à l’est de la vallée de Bolbec, et sur le tracé d’une voie antique, avec un site de plateau étroit entre deux ravins. Elle a 180 hab. de plus qu’en 1999 (+28%) et ne comptait encore que 320 hab. dans les années 1960. Lintot (450 Lintotais, 800 ha), 8 km NNE de Lillebonne et 10 km à l’est de Bolbec, a de plus larges espaces sur le plateau; sa limite sud-est suit la voie romaine. Beuzevillette (670 Beuzevillettais, 563 ha), 7 km à l’est de Bolbec, est au nord de Lintot mais son village est tout à l’ouest du finage au-dessus de vallons encaissés. Plus à l’est se voit le château du Feugrès, de brique et pierre. Lanquetot (1 150 Lanquetotais, 509 ha), 5 km ENE de Bolbec, est traversée par l’ex-N15 et a trois hameaux à l’est, plus le Petit Lanquetot au sud-ouest; parc de loisirs et musée vivant du Chien (la Sauvagette); +130 hab. depuis 1999. Raffetot (510 Raffetotais, 685 ha) est à 6 km NE de Bolbec; la voie ferrée traverse le finage, que l’A29 écorne au NE. Bolleville (590 Bollevillais, 973 ha), 8 km ENE de Bolbec, est traversée au sud par la N15 (D6015), au centre par la voie ferrée, au nord par l’A29 qui s’y est dotée d’une vaste aire de service près du hameau de Guillerville, où est un manoir du 18e; au sud-ouest, châteaux d’Éprémesnil (17e, œuvre de Mansart, en brique et pierre) et de Calmesnil (18e-19e); +80 hab. depuis 1999. Trouville (650 Trouvillais, 1 038 ha), 13 km à l’est de Bolbec, est au sud de son finage sur la D29 nord-sud. Au nord, la jardinerie Desjardins (40 sal.) s’est établie au carrefour de la D29 et de la N15 au hameau d’Alliquerville; +80 hab. depuis 1999. Les communes suivantes ont formé naguère la communauté du Cœur de Caux, dont près de la moitié ont constitué ensuite la grande commune nouvelle de Terres-de-Caux à partir de Fauville. Alvimare (630 Alvimarais, 673 ha), 15 km ENE de Bolbec sur la route d’Yvetot (D 6015 ex-N 15), se signale par la chapelle et la croix des Blanques à l’est (16e et 15e s.), et un château au village; travaux publics Marelle (45 sal.) et Leconte (25 sal.). La commune a gagné 160 hab. depuis 1999 (+34%). Foucart (370 Foucartais, 428 ha), 12 km ENE de Bolbec, a son village entre la voie ferrée au sud (arrêt) et l’A29 au nord; hameau de la Mare aux Roseaux à l’ouest; +50 hab. depuis 1999. Cléville (160 Clévillais, 547 ha), à 14 km ENE de Bolbec juste au nord d’Alvimare, est traversée par l’A29; gros élevage au Mont au Roux à l’est. Envronville (340 Envronvillais, 622 ha) est à 19 km NE de Bolbec, à l’est de Terres-de-Caux; au NE. Le finage est borné par le vallon supérieur de la Durdent. Cliponville (280 Cliponvillais, 728), 20 km ENE de Bolbec au NE de Terres-de-Caux, au nord d’Envronville, donne aussi à l’est sur le vallon de la Durdent, dont la source est toutefois plus en aval, à Héricourt-en-Caux. Yèbleron (1 320 Yèbleronnais, 1 039 ha), 10 km NNE de Bolbec, 4 km au SO de Fauville, est un gros village dont le nom, d’origine scandinave, désigne une pommeraie (racine (i)ablo comme dans les langues slaves ou comme dans apple, Apfel). La commune a 40 hab. de moins qu’en 1999. Hattenville (730 Hattenvillais, 932 ha) est à 14 km NNE de Bolbec, juste au nord de Yèbleron. Elle a crû de 170 hab. (+30%) depuis 1999. Trémauville (110 Trémauvillois, 280 ha), 13 km NNE de Bolbec, est une petite commune au NO d’Hattenville. Les autres communes sont au nord et nord-ouest de Bolbec. Rouville (640 Rouvillais, 955 ha) est à 7 km NNE de Bolbec au SO d’Yèbleron, avec un finage très étiré vers le nord; l’A29 traverse la commune tout au sud, sans accès. Elle a gagné 120 hab. depuis 1999. Bernières (660 Berniérois, 663 ha), 7 km au nord de Bolbec, contient au nord le château de Durdan, doté d’un grand parc, et deux manoirs à pans de bois du 16e s. L’habitat est dispersé; la population communale s’est accrue d’une centaine d’habitants après 1999. Nointot (1 370 Nointotais, 600 ha), 5 km au nord de Bolbec, est limitée à l’ouest et au SE par de petits vallons descendant vers Bolbec; le hameau de Beau Soleil y domine le confluent. Le finage est traversé par l’A29 et la voie ferrée, qui s’y croisent près du château de la Houssaye où est un centre d’accueil d’handicapés. Tout à l’est se voit le château de Baclair, fin 16e-début du 17e s., remanié au 19e, également de brique et pierre blanche. La commune a 270 hab. de plus qu’en 1999 (un quart). Mirville (360 Mirvillais, 542 ha), 5 km NNO de Bolbec, a un château à douves et un habitat dispersé; le finage est strié par le parcours convergent de trois voies ferrées qui passent à l’ouest par la gare de Bréauté-Beuzeville. Beuzeville-la-Grenier (1 210 Beuzevillais, 619 ha), 5 km NO de Bolbec, a un village étoffé sur la D910. La gare est au nord, mais dans Bréauté; l’échangeur de l’A29 est au sud, mais dans Saint-Jean-de-la-Neuville; +150 hab. depuis 1999. Parc-d’Anxtot (580 Parc-d’Anxtotais, 583 ha) est à 7 km ONO de Bolbec; le finage est traversé au sud par l’A29, au nord par la voie ferrée. Anxtot et Parc-d’Anxtot ont fusionné en 1823; +90 hab. depuis 1999. Saint-Jean-de-la-Neuville (570 Saint-Jeannais, 793 ha), 4 km à l’ouest de Bolbec, est traversée par l’A29 qui, tout au NE, croise la D610 par un échangeur à péage; +90 hab. depuis 1999. |