Communauté de communes Terres des Confluences

Terres des Confluences

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communauté de communes du Tarn-et-Garonne, associant 22 communes, 40 300 hab. sur 40 900 ha. Outre Castelsarrasin qui en est le siège, Moissac, Saint-Nicolas-de-la-Grave et La Ville-Dieu-du-Temple dépassent 2 000 hab.

Saint-Porquier (1 430 Saint-Porquiérains, 1 570 ha), 8 km ESE de Castelsarrasin, est sur le rebord de la basse terrasse au passage de la D813 (ex-N113 Toulouse-Bordeaux). Le Canal latéral à la Garonne passe juste à l’est, l’A62 un peu plus loin, où elle offre une demi-aire de repos, l’autre moitié étant à Escatalens juste à l’est. Le finage atteint la Garonne et déborde même un peu sur sa rive gauche devant Cordes-Tolosannes. La population a augmenté de 390 hab. depuis 1999 (+38%).

Cordes-Tolosannes (360 Cordois, 1 577 ha dont 233 de bois), 8 km au SE de Castelsarrasin, bastide de 1270, se tient sur un petit promontoire de la moyenne terrasse juste au bord de la Garonne, d’où l’on a une belle vue sur les ramiers de la basse plaine; Maison des Agriculteurs (Maïsagri Tarn et Quercy, 20 sal., approvisionnements). La partie occidentale du finage est dans la plaine de la Gimone à son débouché sur la Garonne, où est le site de l’ancienne abbaye cistercienne de Belleperche (12e s.); il y reste une grande église ruinée et une vaste façade (80 m) du monastère des 17e-18e s., avec un musée; un pont ferroviaire et un pont routier sur la Garonne; ancien moulin de Théoule juste à l’ouest. Le cours de la Gimone fixe la limite occidentale du finage. La commune a eu 820 hab. en 1836; elle en a gagné 100 après 1999 (+39%).

Lafitte (240 Lafittois, 474 ha ), 10 km au sud de Castelsarrasin, est sur la rive gauche de la Gimone à la limite de Cordes-Tolosannes. Le finage comprend une petite partie de la plaine de la Gimone, et s’étend davantage sur la moyenne terrasse à l’ouest; +40 hab. depuis 1999.

Castelferrus (470 Castelferrusiens, 839 ha), 6 km SO de Castelsarrasin, est sur l’étroite banquette de la basse terrasse de la Garonne au pied du talus de terrasse moyenne. La Gimone, déportée par les alluvions de la Garonne de son ancien débouché de Belleperche, rejoint le fleuve au NE du village; +70 hab. depuis 1999.

Labourgade (180 Bourgadois, 549 ha), 14 km au sud de Castelsarrasin, est également sur la rive gauche de la Gimone, en amont de Lafitte. Sur le plateau de l’ancienne terrasse garonnaise au NO, le château vicomtal de Terride, ou Terrides, des 13e-14e, 16e et 19e s., a été restauré en hôtellerie (50 chambres) et même en «complexe touristique international», avec terrain de golf. La commune a 50 hab. de plus qu’en 1999.

Montaïn (110 Montaniens, 404 ha), 15 km au sud de Castelsarrasin, est sur un promontoire du versant droit de la Gimone; le petit finage atteint la Gimone au nord, la Tessonne au sud. La D928 le traverse sur le plateau.

Garganvillar (700 Garganvillarais, 2 234 ha), 10 km SSO de Castelsarrasin, sur le vaste plateau de la terrasse moyenne de la Garonne, a commencé comme bastide de l’abbaye de Belleperche. De 950 hab. en 1836, sa population était tombée à 400 en 1975; elle a repris 190 hab. depuis 1999 (+37%). Le finage atteint au nord la basse plaine et le cours de la Gimone; au NO, aux Escoumouillats, un lac collinaire partagé avec Angeville a attiré un camping.

Fajolles (100 Fajollais, 932 ha), 15 km SO de Castelsarrasin, est sur la moyenne terrasse garonnaise. Le finage atteint au NO le cours de la Sère; un lac collinaire de 15 ha à l’est, en partie sur Garganvillar.

Coutures (100 Couturains, 690 ha), 17 km SO de Castelsarrasin, a un petit village perché sur un promontoire entre les vallons de Cézone à l’ouest et des Braquets à l’est, tous deux affluents de droite de la Sère; celle-ci fixe la limite nord du finage.

Saint-Arroumex (160 Saint-Arroumessiens, 963 ha dont 150 de bois), 13 km OSO de Castelsarrasin, couronne le versant gauche de la Sère; son finage est bordé par la Sère à l’est, le Rieutord à l’ouest; hameau de Gayssanès au NO.

Angeville (240 Angevillois, 833 ha), 9 km SO de Castelsarrasin, est au bord d’un vallon qui entame la moyenne terrasse, en descendant vers la Sère; hameau de Fompeyre au SO, lac collinaire de 11 ha à l’est, partagé avec Garganvillar; +70 hab. depuis 1999 (+41%).

Caumont (330 Caumontois, 1 522 ha), 10 km OSO de Castelsarrasin, a son village perché sur un éperon de la moyenne terrasse garonnaise, dominant la vallée du Tieutod au sud et la plaine de la Garonne au nord. Le finage s’étend largement dans celle-ci, sur la basse terrasse, et atteint à l’est le cours de la Sère; +60 hab. depuis 1999.

Castelmayran (1 220 Castelmayranois, 1 596 ha), 7 km à l’ouest de Castelsarrasin, est sur la basse terrasse de la Garonne, que traverse la Sère. Le finage s’étale largement vers le sud, où il monte sur la moyenne terrasse; plusieurs hameaux, dont les Castelasses au SE. Au nord, le finage atteint la rive gauche de la Garonne, à l’endroit où l’A62 traverse le fleuve. Mais la complexité de l’histoire du cours de la Garonne a découpé le finage. Castelmayran a ainsi deux enclaves, toutes deux à cheval sur le cours actuel du fleuve et à l’intérieur du finage de Castelsarrasin, l’une au nord (Terride, 53 ha), l’autre à l’est (Filhol, 90 ha). La commune a 390 hab. de plus qu’en 1999 (+47%).

Saint-Aignan (420 Saint-Aignanais, 485 ha), 5 km au SO de Castelsarrasin, est sur le rebord de la moyenne terrasse garonnaise, à 400 m de la rive gauche; mais les variations du cours du fleuve ont donné à son finage un dessin extraordinairement compliqué, avec une enclave de Castelsarrasin (40 ha), des étangs de gravières et deux avancées sur la rive droite, dont une avec camping. Le village a un beau clocher-mur à 5 arcades.

Saint-Nicolas-de-la-Grave complète la partie méridionale de Terres des Confluences. Les autres communes sont au nord de la Garonne et du Tarn, où la plus grande partie de la surface est occupée par Moissac.

Boudou (740 Boudounais, 1 230 ha), 7 km à l’ouest de Moissac, est sur une haute colline du coteau droit de la Garonne juste en aval du confluent avec le Tarn. Au pied passent la D813, le Canal latéral et la voie ferrée Toulouse-Bordeaux; un pont de Coudal assure la liaison avec Saint-Nicolas-de-la-Grave; beau panorama et table d’orientation; cultures de chasselas (80 ha), base de loisirs à la Pointe au confluent. Le finage s’étend un peu au nord sur les collines, jusqu’à la vallée de Sourèze où était l’ancienne paroisse de Saint-Pierre-d’Aix (chapelle abbatiale du 17e). La commune a gagné 160 hab. depuis 1999 (+28%).

Lizac (520 Lizacais, 942 ha), 13 km à l’est de Moissac, est apparue comme commune en 1863, avec 770 hab., à partir des finages de Lafrançaise et de Moissac. Le petit finage est au milieu de la plaine alluviale d’un grand méandre du Tarn, couverte de vergers. Le finage s’étend au nord sur les collines entre le coteau du Tarn et le cours du Lemboulas, que longe la D927. Lizac a gagné 100 hab. depuis son minimum de 1999.

Durfort-Lacapelette (950 Durfortais, 3 583 ha dont 924 de bois), 14 km au NNE de Moissac, a un lycée professionnel privé et 178 ha de vignes. La commune se nommait seulement Durfort jusqu’en 1972 mais son hameau principal est bien Lacapelette, campé sur la serre entre les vallées de la Barguelonne et du Lembous; elle a eu 1 650 hab. en 1841 et s’est dépeuplée jusqu’en 1999; elle a repris 190 hab. depuis (+25%). Elle avait absorbé avant 1806 Saint-Paul, dont quelques traces subsistent au SE du village.

Montesquieu (780 Montesquivois, 2 865 ha dont 532 de bois) est une commune d’habitat totalement dispersé à 12 km au nord de Moissac, donnant au nord sur la vallée de la Barguelonne; elle cultive 126 ha de vignes et a gagné 140 hab. (+22%) depuis 1999; négoce de fruits et légumes Cancel (30 sal.). Le hameau principal, avec la mairie, est Sainte-Thècle, sur la crête que parcourt la D957; petit hameau d’Esmès au NO, château de Montesquieu au nord sur une butte du coteau gauche de la Barguelonne.


Castelsarrasin

(14 420 Castelsarrasinois, 7 677 ha dont 421 de bois) est une sous-préfecture du Tarn-et-Garonne, 21 km à l’ouest de Montauban. La ville est établie à distance prudente de la Garonne, au bord de la basse terrasse, à 7 km en amont de son confluent avec le Tarn. Le nom date de 1162, n’a aucun rapport avec les Maures, et le peuplement est parti d’une villeneuve établie auprès du château; celui-ci a disparu au 17e s. Elle a conservé un plan très régulier et a reçu le passage de la N113, du canal latéral à la Garonne et de la voie ferrée Bordeaux-Toulouse; l’autoroute des Deux-Mers la contourne par le nord (échangeur). Le centre-ville a une église en briques du 13e s. avec un riche mobilier. La commune englobe un bassin du canal avec port de plaisance; hippodrome, Bamboo-Parc du château de Lériet au NE, aérodrome (code LFCX) au nord de la commune, doté d’une piste en dur de 900 m, plus une en herbe de 900 m, avec aéroclub et qui dessert également Moissac, et accueille des parachutages militaires.

Castelsarrasin n’a pu conserver son usine d’aluminium installée jadis pour des raisons stratégiques, dont il reste cependant un atelier de 45 salariés Aludium, passé du groupe Alcoa à Atlas Holding, et les fils et plaques d’aluminium Trimet (35 sal.); mais elle réunit un éventail d’entreprises: pâtisserie LTS du groupe Labeyrie Traiteur Surgelés, ex-Brossard-Saveurs de France (210 sal.), lave émaillée et taille de pierre Pierre de Plan (100 sal., repris en 2008 par le groupe Finalp avec la fabrique locale Pyrolave), coffrages pour béton Plaka (55 sal.); canalisations Cousin Pradère (40 sal.), sables et graviers Rup (30 sal.), maçonnerie Pons (20 sal.) et Montoux (25 sal.); transports MTA (35 sal.), Roig (30 sal.), Transdis (25 sal.).

La ville a un hôpital local partagé avec Moissac, une clinique, deux collèges et un lycée publics; une caserne depuis 1875, maintenue avec le transfert du 31e régiment du génie de Libourne à Castelsarrasin en 1971 (1 100 personnes); centre commercial Leclerc (190 sal.), Intermarché (55 sal.), négoces de fruits Pomme Lomagne (55 sal.), de matériel agricole Comai (40 sal.).

Son finage étendu joue avec d’anciens tracés de la Garonne au sud, poussant une pointe sur la rive gauche actuelle à Saint-Aignan et possédant même une enclave de 37 ha dans cette commune au nord du village, tandis que la commune de Castelmayran conserve deux enclaves de 95 et 50 ha au sein du finage de Castelsarrasin. Celui-ci s’étend surtout sur la plaine de rive droite, et atteint la rive gauche du Tarn sur 4 600 m au nord-est, mais laisse à Moissac les cinq ponts sur le Tarn, et le confluent à Saint-Nicolas-de-la-Grave, tout en empiétant largement au NO sur la rive gauche de la Garonne dans un secteur de vergers et de ramiers.

Castelsarrasin avait environ 7 000 hab. au cours du 19e siècle et jusque vers 1940; elle est passée à 11 300 en 1968 et n’a crû ensuite que lentement, puis a augmenté de 2 200 hab. depuis 1999 (+18%). Elle est le siège de la communauté de communes Terres des Confluences. L’arrondissement a 77 300 hab. (68 700 en 1999), 103 communes, 160 152 ha. Le nouveau canton de Castelsarrasin a 6 communes, 20 200 hab., 14 500 ha.


Moissac

(12 990 Moissagais, 8 795 ha dont 1 291 de bois) est un ancien chef-lieu de canton du Tarn-et-Garonne dans l’arrondissement de Castelsarrasin, 8 km au nord de celle-ci, 29 km ONO de Montauban. Sur un site occupé à l’époque gallo-romaine (il en reste un hypocauste), à l’endroit même où le Tarn vient lécher le coteau du Quercy, s’était établie dès le 7e siècle une abbaye bénédictine qui a fait et continue de faire la renommée de Moissac. Les bâtiments occupent en centre-ville une place très remarquée, surtout par le cloître de 1115 à 76 arcades et quantité de chapiteaux sculptés formant une bande dessinée de la bible, et par l’église abbatiale de la même époque, avec un portail sculpté (1135) et un riche mobilier (musée).

Moissac offre un centre d’art roman Maurice Durliat, un musée ethnologique Marguerite Vidal; un autre musée a été ouvert à l’église Saint-Jacques. Moissac est également connue comme la capitale du chasselas, cultivé sur les collines du Bas-Quercy; une station uvale (Uvarium) est ouverte en ville, 375 ha de vignes sont cultivés par les vignerons moissagais. La ville a un collège et un lycée publics, un collège privé; cinq hôtels, un camping (140 places).

La commune, très étendue dans les collines du Quercy, déborde au sud du Tarn dans la plaine, englobant Castanet sur la rive gauche (pigeonnier de Millole) et proposant une suite de cinq ponts dont le pont-canal, avec port de plaisance sur la rive droite de la Garonne. À l’est de la ville, le finage comprend une large plaine viticole et le confluent du Lemboulas avec le Tarn. Sur les collines, château et hameau de Saint-Amans à l’est, hameau de Montescot au NE, quartiers de Laujol et Saint-Julien, au nord, de Viarose et Marot au NO, au-delà desquels le finage dessine une excroissance qui atteint la vallée du Cabaleu et inclut Saint-Avit.

Parmi les ateliers se distingue une fabrique de caoutchoucs et plastiques pour l’isolation des automobiles Autoneum (groupe suisse, 110 sal.); emballages en bois Embalbois (35 sal.); lignes électriques SPIE (30 sal.), constructions ETC (40 sal.), génie climatique Quercy Confort (75 sal.), installations techniques pour l’agriculture Services Industries (20 sal.). Plusieurs négoces de fruits et légumes s’activent; Mourgues Fruits (Quercy Primeurs) emploie 75 sal.; la station fruitière Boyer (BM Productions) emploie 20 permanents et 200 saisonniers et traite melons et prunes, le conditionnement et négoce de fruits et légumes Boyer emploie 210 sal., Cancel Fruits 115; arboriculture Delvolvé Détours (25 sal.). Moissac a aussi un Intermarché (120 sal.); négoce de fournitures agricoles Univers de l’Emballage (30 sal.), transports Merle (60 sal.), Dupouy (40 sal.), Satar (40 sal.), Nougarède (20 sal.). De 10 800 hab. en 1841, la population communale était descendue à 7 400 en 1926; elle a repris depuis, avec toutefois un léger creux entre 1975 et 1985; elle a augmenté de 250 hab. depuis 1999. La commune est membre de la communauté Terres des Confluences. Le nouveau canton de Moissac a 9 communes, 13 800 hab., 12 400 ha.

Le chasselas de Moissac. Le chasselas de Moissac est connu depuis des siècles, mais sa notoriété a beaucoup gagné aux expéditions ferroviaires, puis aux soins apportés à sa culture. Le premier élan semble être venu de Jean-Baptiste Salers, qui fit les premières expéditions ferroviaires vers Paris dès 1858 à partir de son domaine de Montescot, un hameau de la commune de Moissac à 7 km NE de la ville. Une appellation chasselas doré a été obtenue en 1953 et transformée en AOC en 1971, avec un label d’AOP européenne en 1996; elle touche 76 communes (Tarn-et-Garonne et Lot) et elle est soutenue par 250 producteurs, livrant environ 3 000 tonnes/an pour 500 ha. Moissac se trouve également au centre d’une zone de production contrôlée de prunes reine-claude (250 producteurs, 3 000 t, label rouge) et participe à l’indication géographique protégée (IGP) melon du Quercy (90 producteurs, 500 ha, 5 000 t) ainsi qu’à la certification Covapi pour les pêches, pommes et poires, qui réunit des producteurs de la plaine de Tarn-et-Garonne (5 000 t).


Saint-Nicolas-de-la-Grave

(2 290 Nicolaïtes, 2 934 ha) est un ancien chef-lieu de canton du Tarn-et-Garonne dans l’arrondissement de Castelsarrasin, 12 km au NO de celle-ci, en Terres des Confluences. La bourgade est au milieu du coude de la Garonne au confluent du Tarn, où elle bénéficie d’un grand plan d’eau de 400 ha, avec base de loisirs, réserve et observatoire ornithologiques, et le pont de Coudol juste en aval. C’est une bastide de 1135 au plan en damier, avec des cornières sur la place du marché, et des halles récentes; elle a été dotée au 14e s. d’un château en briques, refait au 19e et doté de quatre hautes tours carrées qui lui donnent un air bolognais. Elle abrite la maison natale de Lamothe-Cadillac (1658-1730), l’aventurier qui explora en Amérique du Nord, fonda Detroit et dont des voitures de prestige portent encore le nom; fers à béton Seringes Armatures (25 sal.). L’A64 traverse le finage tout au sud, avec une aire de service (station Leclerc, 35 sal.). La population croît depuis 1954 (1 600 hab.) mais n’a gagné que 250 habitants depuis 19999; elle avait dépassé les 3 000 hab. de 1836à 1850.


Ville-Dieu-du-Temple (La)

(3 230 Théopolitains, 2 616 ha) est une commune du Tarn-et-Garonne dans Terres des Confluences, 10 km à l’est de Castelsarrasin sur la D958 et la voie ferrée vers Bordeaux. À l’origine fondation des templiers dans l’ancienne forêt d’Agre, comme sa voisine Labastide-du-Temple, elle occupe une large part de la terrasse entre Tarn et Garonne. Elle a une cave coopérative mais ses vignerons ne cultivent que 58 ha de vignes. Le nom s’est écrit naguère Lavilledieu-du-Temple; son orthographe a été changée en 1968, entraînant son glissement dans l’ordre alphabétique. La population augmente, surtout depuis 1962 (1 060 hab.). Elle s’est accrue de 1 440 hab. depuis 1999 (+80%).