Communauté de communes Porte de Drômardèche' intercommunalité au nord de la Drôme, associant 34 communes (dont 8 en Ardèche) et 47 200 hab. sur 42 080 ha. Saint-Vallier (siège), Albon, Anneyron, Châteauneuf-de-Galaure, Saint-Rambert-d’Albon, Saint-Sorlin-en-Valloire et Saint-Uze dans la Drôme, Sarras en Ardèche ont plus de 2 000 hab. Ponsas (540 Ponsardiers, 271 ha) est une petite commune sur la rive gauche concave du Rhône juste à l’aval de Saint-Vallier. La N7 et la voie ferrée longent la rive. La commune a 70 hab. de plus qu’en 1999. Laveyron (1 260 Laveyronnais, 532 ha), 3 km au nord de Saint-Vallier, desservie par la N7 et la voie ferrée, a un petit port de plaisance et prolonge les industries de Saint-Vallier par la papeterie Saica ex-Emin Leydier (espagnol, 310 sal.), plus la fabrique de carrelages Novaceram (160 sal.) au groupe italien la Concorde. La population communale augmente lentement depuis les années 1930 (380 hab.). Elle s’est accrue de 370 hab. après 1999 (+42%). Andancette (1 360 Andancettois, 598 ha), 8 km au nord de Saint-Vallier, est une commune créée en 1872 à partir d’Albon, sur la rive gauche du Rhône face à sa jumelle ardéchoise Andance; église romane, gare; la N7 longe le bourg à l’est, marquant la limite du finage. La population de la commune, stable de 1872 aux années 1940, croît lentement depuis (+190 hab. après 1999). Beausemblant (1 460 Belsimiliens, 1 167 ha dont 222 de bois), 6 km au NNE de Saint-Vallier, a reçu aux Pierrelles, sur la N7 au NO, le siège, une plate-forme et plusieurs sociétés du transporteur étatsunien XPO ex-Dentressangle (plus de 1 000 salariés). Beausemblant accueille aussi une fabrique d’emballages plastiques Alphaform (200 sal.); château des 14e-17e s., belle place de village avec fontaine. Le nom de la commune est ancien (Belsemblant au 14e s.) et a été inspiré par son site, accidenté par la butte allongée de Verdun; sa population a augmenté de 460 hab. (+46%) depuis 1999. L’autoroute A7 longe la limite communale au SE; aux abords sont six éoliennes Vestas (12 MW, groupe Audax). Saint-Barthélemy-de-Vals (1 890 Saint-Barthélémiens, 2 027 ha dont 1 100 de bois) est à 5 km ESE de Saint-Vallier de l’autre côté de la Galaure; la maroquinerie Bartel emploie 360 personnes. La commune est traversée à l’est par l’A7, qui y a une double aire de repos; hameau de Villeneuve au NE; chaos de rochers des Roches qui Dansent au SO. La population a été de 1 500 hab. à la fin du 19e s., 1 000 au milieu du 20e et a connu une croissance lente mais continue depuis (+240 hab. après 1999). Claveyson (900 Claveysonnais, 1 613 ha) est 10 km à l’est de Saint-Vallier, dans un site de clue au bord du Bion, affluent de la Galaure; la LGV Rhône-Alpes traverse la commune à l’ouest; +190 hab. depuis 1999 (+27%). Ratières (270 Ratièrois, 901 ha) est à 15 km à l’est de Saint-Vallier sur le relief; ruines d’une tour carolingienne. Saint-Avit (340 Saint-Avitois, 894 ha) est à 16 km ENE de Saint-Vallier; camping; +90 hab. depuis 1999. Saint-Jean-de-Galaure (1 290 hab., 1 318 ha) est née de la fusion en 2022 de La Motte-de-Galaure (810 La Mottois, 773 ha), 9 km ENE de Saint-Vallier, qui se distingue par son ancien prieuré du 11e s., et de Mureils (480 hab., 545 ha), 2 km au NE, que traverse la LGV. Les deux villages sont au bord de la Galaure. Ils ont gagné 420 hab. ensemble depuis 1999 (+48%). Fay-le-Clos (180 Fayens, 456 ha) est une commune aux maisons dispersées juste au nord de La Motte-de-Galaure. Saint-Martin-d’Août (410 Saint-Martinois, 767 ha) est à 18 km ENE de Saint-Vallier, 3 km au SE de Châteauneuf-de-Galaure, et a gagné 110 hab. depuis 1999 (+37%). Tersanne (370 Tersannois, 949 ha) est à 21 km ENE de Saint-Vallier, 4 km au sud d’Hauterives et a presque doublé sa population depuis les 190 hab. de 1999. Hauterives (1 930 Hauterivois, 3 051 ha dont 959 de bois), 21 km au NE de Saint-Vallier au bord de la Galaure, est un village très connu où se visite le «palais idéal du facteur Cheval», célèbre œuvre d’art «brut» élaborée de 1879 à 1912 par Ferdinand Cheval (1836-1924), célébrée par les surréalistes et classée monument historique en 1969, mais dont l’entretien s’avère difficile; l’ouvrage reçoit quelque 120 000 visiteurs par an. La commune a un atelier de maroquinerie (Quatre Collines, 45 sal.), une serrurerie ESPACES (40 sal.), une fabrique d’agencements (Lallier, 30 sal.), un Intermarché (20 sal.), un institut médico-éducatif. Du sel est exploité dans un forage, dissous dans l’eau chaude et expédié par conduite sur 85 km jusqu’à l’usine Chloralp de Pont-de-Claix (Isère); la mine de sel stocke aussi du propylène. La population d’Hauterives a culminé à 2 600 hab. en 1851 et s’est abaissée jusqu’à moins de 1 100 en 1975. Elle a augmenté de 570 hab. après 1999 (+42%). Le Grand-Serre (950 hab., 2 474 ha dont 560 de bois) est un ancien chef-lieu de canton, 28 km au nord de Romans à 480 m. La commune a un collège public; moulinage de la Galaure (55 sal.). Le village est installé sur l’interfluve entre les vallées de la Galaure au sud et de son affluent de droite le Galaveyson au nord. Le camp militaire du Chambaran occupe au NE une partie de la commune, limitrophe de l’Isère. La population a eu jusqu’à 1 800 hab. au 19e s., et un minimum de 700 hab. en 1975. Elle a 170 hab. de plus qu’en 1999 (+22%). Lens-Lestang (920 Lenselois, 1 641 ha dont 547 de bois), 9 km au nord d’Hauterives au bord de la plaine de Champlard que draine l’Oron, est limitrophe de l’Isère. Elle a une fabrique d’équipements de radio SEE (Service électronique engineering, 35 sal.), les travaux publics Faure (55 sal.) et un musée d’ours en peluche et de poupées. La commune, qui fut jadis Lens l’Étang, avait encore 1 300 hab. en 1886 après avoir cédé quelques territoires, 700 dans les années 1960-1990; elle a gagné 240 hab. depuis 1999 (+35%). Moras-en-Valloire (690 Morassiens, 858 ha dont 450 de bois), 7 km NNO d’Hauterives, a un village d’allure médiévale et utilise un ancien château comme hôtel de ville. La commune, traversée au nord par la Veuse, a des vignes et s’étend au sud dans la forêt de Mantaille, qui la sépare d’Hauterives. Elle fut étendue et a eu jusqu’à 4 500 hab. en 1851, mais elle a cédé entre 1855 et 1884, à quatre reprises, des sections qui ont permis la création des communes de Lapeyrouse-Mornay, Épinouze, Saint-Sorlin-en-Valloire et Manthes. Elle a 70 hab. de plus qu’en 1999. Manthes (680 Manthenois, 683 ha), au bord de la Veuse 4 km au NO de Lens, touche au NE à la limite de l’Isère. Elle a été créée en 1884 à partir de Lens-Lestang et de Moras-en-Valloire, et a 100 hab. de plus qu’en 1999. Au NO, la LGV croise la voie de Saint-Rambert au Dauphiné près de l’ancienne gare. Lapeyrouse-Mornay (1 230 Lapeyrousiens, 1 145 ha), 25 km au NE de Saint-Vallier, limitrophe de l’Isère, est la commune la plus septentrionale de la Drôme. Le village est sur la D519 au-dessus de la vallée de l’Oron et au croisement de la LGV. L’entreprise de maçonnerie Laquet (100 sal.) est spécialiste d’aménagements paysagers et sportifs. La commune n’a été créée qu’en 1855, à partir de ses deux voisines Lens et Moras, avec 770 hab.; sa population s’était abaissée à moins de 600 hab. de 1946 à 1975; elle a gagné 420 hab. depuis 1999 (+52%). Épinouze (1 540 Épinouziens, 1 121 ha), 20 km au NE de Saint-Vallier dans la vallée de l’Oron, est une ancienne commanderie de templiers du 12 s. avec chapelle à Lachal; fabrique d’outillage à main Sandvik (Hyperion, 100 sal.). La commune a été créée en 1878 à partir de Moras, avec 860 hab.; longtemps stable, sa population a un peu augmenté après 1950 et a gagné 430 hab. (+39%) après 1999. De l’autre côté du Rhône mais en Ardèche sont huit communes, Sarras qui dépasse 2 000 hab. et, du sud au nord: Éclassan (1 070 Eclassanais, 1 593 ha) ' communauté de communes de la Drôme, associant 34 communes et 47 200 hab., avec pour siège Saint-Vallier. Huit de ses communes sont en Ardèche, dont Sarras. qui dépasse 2 000 hab. Éclassan (1 070 Eclassanais, 1 593 ha) est à 19 km SE d’Annonay et 7 km au SO de Sarras sur le plateau à 460 m. L’Ay borne le finage au NO; entre elle et le village se dresse la butte de Montbard (530 m), avec chapelle, calvaire et pylônes. La population a augmenté de moitié depuis les 710 hab. de 1999. Arras-sur-Rhône (550 Arrageois, 589 ha), 9 km au nord de Tournon, au pied du coteau droit du Rhône sous les ruines de sa Tour Blanche, est le site du barrage dit de Saint-Vallier; la commune, desservie par la D86 et la voie ferrée, a gagné 130 hab. depuis 1999. Ozon (380 Ozonnais, 832 ha dont 330 de bois), juste au sud de Sarras, domine le défilé de Saint-Vallier, face à la ville; le Rhône passe au pied, au ras de son coteau droit, ne laissant place qu’à la D86 et à la voie ferrée; +60 hab. après 1999. Andance (1 220 Andançois, 652 ha), 9 km au nord de Sarras, est au bord du Rhône au débouché du Torrenson, face à sa jumelle Andancette (Drôme), à laquelle la relie un pont suspendu de 1827, dessiné par Marc Seguin. La D82 y rejoint la D86. Tout au nord, la commune possède une fraction de plaine de rive droite du Rhône avec étang, camping et l’usine de plastiques Inoplast, devenue Plastic Omnium (170 sal.); ruines romaines de la Sarasinière au sud de la commune, qui s’achève au confluent de la Cance. Andance a gagné 220 hab. depuis 1999; elle avait eu 1 400 hab. au milieu du 19e s., et elle était restée autour de 1 000 hab. durant tout le 20e siècle. Saint-Étienne-de-Valoux (300 Stéphanois, 236 ha) est juste à l’ouest d’Andance dans le vallon du Torrenson sur la D82. Le finage est séparé du Rhône par celui d’Andance. La commune a gagné 100 hab. (une moitié) depuis 1999. Champagne (600 Champenois, 410 ha) est dans la plaine de rive droite du Rhône, 4 km au nord d’Andance, dont elle est séparée par le finage de Saint-Désirat. Une grande église romane fortifiée et richement sculptée est issue d’une abbaye. La commune, traversée par la D86 et la voie ferrée, accueille une fabrique de médicaments du Laboratoire Aguettant (125 sal.) et la menuiserie Roux (40 sal.); La population augmente aussi, depuis le minimum de 290 hab. autour de 1960; elle s’est accrue de 110 hab. après 1999. Peyraud (500 Peyraudins, 596 ha), est à 4 km NNO de Champagne au pied du coteau droit du Rhône, que frôle le fleuve; D86, bifurcation ferroviaire avec pont sur le Rhône vers Saint-Rambert-d’Albon (Drôme); elle a gagné 40 hab. après 1999. (2 010 Albonnais, 2 562 ha dont 294 de bois) est une commune de la Drôme dans la CC de la Porte de Drômardèche, 23 km au nord de Tain-l’Hermitage et 9 km NNE de Saint-Vallier. Le village, Saint-Romain, est à l’extrémité occidentale d’un relief castral qui porta le site seigneurial et où subsiste un donjon ruiné. Successivement, Anneyron est sortie d’Albon en 1809, avec plus de 2 000 hab.; puis Saint-Rambert en 1839 avec 900 hab., et Andancette en 1872 avec 640 hab. La population augmente depuis le minimum de 1975(1 100 hab.) et s’est accrue de 420 hab. après 1999 (+26%). L’autoroute du Soleil traverse la commune, qui contient à l’ouest l’aérodrome dit de Saint-Rambert-d’Albon (LFLR), doté de deux pistes gazonnées de 900 m chacune et d’un aéroclub, et au sud-ouest un golf; hameau de Saint-Martin-des-Rosiers au SE; fabrique de maroquinerie La Maroquinerie (55 sal.); base logistique Intermarché de 140 emplois, négoce de fruits Compagnie des Fruits mûrs (50 sal.), logistique Nutrition et Santé (40 sal.). (4 220 Anneyronnais, 3 623 ha dont 280 de bois) est une commune de la Drôme dans la CC de la Porte de Drômardèche, 16 km au NE de Saint-Vallier, au bord de l’Argentelle. Elle offre une église romane et un musée local Saint-Jean. Le bourg réunit un assez large ensemble industriel, et en premier lieu le siège ainsi qu’une usine de matériel de sport et de loisirs du groupe Lafuma (330 sal.), créé sur place en 1930 par trois frères tanneurs et selliers, qui profitèrent de l’invention des congés payés en 1936 pour lancer le sac à dos à armature; articles de poterie Jars (70 sal.); biscuiterie de la Tour d’Albon (groupe Bouvard, 180 sal.) et confiserie du groupe irlandais Kerry (120 sal.), conserves de fruits Cap’Fruit (50 sal.). Anneyron a une maison familiale rurale; au sud-est du finage, ruines du château médiéval de Mantaille au bas du relief d’Albon et camping sur la crête.; hameaux de Coussieux et des Vials à l’est, des Clotrières au nord, de Coinaud au NO, partagé avec Saint-Rambert. La commune a été créée en 1809 à partir d’Albon, et celle de Mantaille lui a été aussitôt associée. Elle a eu 3 100 hab. en 1861, 2 300 entre 1920 et 1950, puis sa population a augmenté, gagnant encore 720 hab. après 1999. (2 410 Castelneuvois dont 570 à part, 1 808 ha dont 286 de bois) est une commune de la Drôme dans la CC de la Porte de Drômardèche, à 15 km NE de Saint-Vallier. Elle a un gros ensemble d’enseignement catholique avec deux collèges et deux lycées, dont un lycée technique orienté vers l’agro-alimentaire, et un foyer de charité, qui fut à l’origine de l’institution, créé en 1936 à l’instigation de Marthe Robin (1902-1981). La commune est traversée par la LGV, qui y emprunte un tunnel de 2 800 m sous le plateau qui domine au nord la vallée de la Galaure. Le village accueille des manifestations annuelles d’amateurs de scooters des années 1970. La commune, dont la population a très peu évolué entre 1950 et 1999, a gagné 570 hab. depuis 1999 (+31%). (6 900 ha., 1 340 ha) est une commune du département de la Drôme dans la CC de la Porte de Drômardèche, 15 km au nord de Saint-Vallier. La ville est sur la rive gauche du Rhône, à l’angle NO du département, face à la sortie du canal du Rhône (bief de Roussillon). Elle est ceinturée par la N7 et l’A7 et desservie par un carrefour de voies ferrées. Sur l’A7, l’aire de service Isardrôme est très fréquentée, avec un restaurant Arche (50 sal.); plates-formes logistiques et transports Bert (300 sal.), XPO (210 sal.), Sherpa (60 sal.); fabriques de plastiques pour piscines Albon (90 sal.), de meubles Coulidor (60 sal.). La ville a un collège public et un privé; un aérodrome de sports et tourisme (LFLR) est juste au sud, dans la commune d’Albon. La commune a été créée à partir d’Albon en 1839, avec 880 hab.; sa population a constamment augmenté par la suite, passant par 2 000 hab. en 1896, 3 000 en 1946, 4 000 en 1973, guère plus en 1999, mais a ajouté 2 540 hab. depuis, soit +58%. (2 290 Saint-Sorlinois, 2 650 ha dont 1 021 de bois) est une commune de la Drôme dans la CC de la Porte de Drômardèche, village-centre assez bien équipé à 14 km ONO du Grand-Serre et 6 km ENE d’Anneyron, au bord de la Veuse, et qui fut naguère un grenier à blé. Elle a un collège public, un supermarché U (55 sal.). La commune n’a été créée qu’en 1880, à partir de Moras, sous le nom de Saint-Sorlin, complété en 1920; elle avait près de 1 800 hab. à sa création, est descendue à moins de 1 400 entre 1946 et 1975, puis s’est un peu étoffée; elle a gagné 310 hab. après 1999. (2 110 Saint-Uziens., 1 010 ha) est une commue de la Drôme dans la CC de la Porte de Drômardèche, à l’est de Saint-Vallier, juste à l’entrée des gorges de Rochetaillée dans lesquelles s’enfonce la Galaure entre Saint-Uze et Saint-Vallier. La population a crû dans la seconde moitié du 19e s., de 700 hab. au début à 1 600 à la fin; elle s’est ensuite tenue à ce niveau jusqu’en 1950, puis est montée jusqu’à plus de 2 000 en 1975; elle a baissé ensuite, mais regagné 500 hab. depuis 1999. Les roches cristallines du Massif Central ont été exploitées pour leur kaolin; il en reste à Saint-Uze une fabrique de céramiques culinaires Revol Porcelaine (Melplak, 210 sal.); la commune a aussi un institut médico-éducatif. (4 170 Saint-Valliérois, 542 ha) est un ancien chef-lieu de canton du département de la Drôme dans l’arrondissement de Valence, 33 km au nord de la préfecture. La ville est sur la rive gauche du Rhône, au confluent de la Galaure. Le Rhône y entaille un rebord du Massif Central par le défilé de Saint-Vallier, d’environ 1 000 m de large; un pont est jeté sur le Rhône, sous un château fort remanié. L’ancien nom était Orsulis, ce que rappelle la place d’Orsolles en plein centre-ville, où subsistent quelques rues étroites et placettes, une halle du 19e s. et même une tour du 4e siècle. La ville est le siège de la CC de la Porte de Drômardèche. Elle a un centre hospitalier de 98 lits médicaux (390 en tout), un collège et un lycée publics, un collège privé, un centre d’aide par le travail; supermarchés Casino (30 sal.) et Intermarché (95 sal.). Un espace industriel s’allonge dans la plaine en amont de la ville, le long de la N7 et de la voie ferrée; l’usine principale est celle de la fabrique d’équipements pour l’aéronautique Kalistrut Aerospace (200 sal., au groupe suédois SKF); valves Daher (90 sal.), isolateurs en céramique Ceralep (50 sal., repris par une coopérative ouvrière), papeterie-cartonnerie Serkol (30 sal.); transports RDIS Pennington (35 sal.). L’aménagement du Rhône dit de Saint-Vallier est en fait surtout au sud vers Tain-l’Hermitage. Saint-Vallier avait déjà 3 000 hab. en 1848; sa population est montée à 4 400 en 1906, et à 5 100 en 1975 après être descendue à moins de 4 000 dans les années 1930; mais elle baisse depuis et a encore perdu une centaine d’habitants après 1999. Le nouveau canton de Saint-Vallier a 13 communes, 27 700 hab. (2 280 hab., 1 165 ha dont 201 de bois) est à 15 km au nord de Tournon face à Saint-Vallier, dans la CC de la Porte de Drômardèche au confluent de l’Ay, juste au sud de la rivière. Elle a un mausolée gallo-romain, et une fabrique de maroquinerie Vuitton du groupe LVMH (350 sal.); transports Gardon (70 sal.). Longtemps entre 1 400 et 1 500 hab., sa population a augmenté après 1970; elle a gagné 430 hab. après 1999 (+23%). |